Auteur |
Message |
   
JG
| Envoyé lundi 26 janvier 2004 - 18h31: | |
Je sais ! Tu ne vois pas… pourtant je me souviens Dans ce passé banal la vieillesse assassine ! Comme un soleil dissout... dans la paume des mains La porte refermée... Au hasard de nos spleens Les autres c'étaient nous… Hier… je me souviens ! On s'était reconnu au détour d'une fête Sans même se connaître Osant à peine voir Cet ange du passé dans le noir de nos têtes Les autres c'étaient nous… Hier ! Tu te souviens ? Avec ce goût perdu... Le sucre de tes lèvres Ta source d'infinie... Tes parfums défendus Tes chemins dilués... noyant dans une fièvre Tant de mots insensés Qui ne te touchent plus… Avec nos yeux plongés… Dans ces îles lointaines La mer… dans ses copeaux... Ce phare... t'en souviens-tu ? Nos mains se rencontraient... aux heures qui se traînent Et du sel sur ta peau ? Comme un soleil fondu... Je sais ! Tu ne vois pas… Tellement tu me manques Dans ce passé banal la vieillesse assassine De tant de souvenirs… Nos vagues… Nos calanques À la porte du cœur… Ouvert à double tours
|
   
Aglaé
| Envoyé jeudi 05 février 2004 - 18h42: | |
Toujours très amateur de ta "manière"...sans manière paradoxalement. Je t'embrasse. Aglaé Tu l'as déjà mis? Il me semble mais lire, c'est relire, surtout les poèmes |
|