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Message |
   
eric dubois
| Envoyé jeudi 29 janvier 2004 - 16h09: | |
j'aimerais donner ma langue au chat et m'étirer de paresse dans les yeux du promeneur être le point d'exclamation au bout d'une phrase inédite porter jusqu'à ébullition tous les espoirs des esprits libres avoir les yeux brillants de l'enfant quand il découvre le matin et devenir le gestionnaire des temps paisibles et au fond de toi de moi de nous émonder le monde
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eric dubois
| Envoyé jeudi 29 janvier 2004 - 16h14: | |
LANGUE AU CHAT j'aimerais donner ma langue au chat et m'étirer de paresse dans les yeux du promeneur être le point d'exclamation au bout d'une phrase inédite porter jusqu'à ébullition tous les espoirs des esprits libres avoir les yeux brillants de l'enfant quand il découvre le matin et devenir le gestionnaire des temps paisibles et au fond de toi de moi de nous étonner le monde
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so-so
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 21h31: | |
tant qu'à deviner autant s'exclamer ! "avoir les yeux brillants de l'enfant quand il découvre le matin " il y a là une naïveté difficilement supportable, une métaphore usée jusqu'à la corde. quant au gestionnaire, laisse-le hors du texte ! il est comme une maladie qui n'étonne plus personne ! à trop vouloir être gentil tu deviens sirupeux... méfie toi des mots qui collent à la langue ! |
   
eric dubois
| Envoyé samedi 31 janvier 2004 - 08h46: | |
pardonnez mes offenses ! |
   
Favirol
| Envoyé samedi 31 janvier 2004 - 18h47: | |
Je n'aurai pas un jugement aussi dur. Chacun détient un rapport particulier avec ce qu'il écrit, relation influencée par un instant, un contexte entourant l'écriture. Ce que j'apprécie à la lecture c'est de justement y trouver une forte imprégnation de soi et de ce monde qui "émonde" ( par ailleurs joli néologisme ) figure que je préfère a l'étonnement. Favirol |