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Jean-Marc
| Envoyé jeudi 29 janvier 2004 - 22h56: | |
BRECHE Sur les bordures bleues lignes parallèles je scrute les ondulations nerveuses les tempes grises Un puits étanche ma soif et mon roulis épouse la pulsation sanguine Qu’importe les prédations exquises à rebours Thaumaturge du contre sens je rebrousse chemin parmi pierres et vipères Aller simple comme une séance de cinéma en partance pour la nuit Vastitude blanche les remous et les images du rêve rémanences infrangibles Ailleurs si lointain mes mains mes ongles mes ossements guettent Une artère brûle à la croisée des veines demain ne s’est pas encore évanoui de la surface présente comme une trace une perspective tronquée un trajet soumis aux aléas et à la bonne aventure Jouons cartes sur table l’imaginaire en guise de sextant et le vent noir pour délacer mes regards emplis de comètes et d’émotions trébuchantes Qu’importe la fin quand survient la tombée du rideau Le puzzle s’estompe Jean-Marc |
   
so-so
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 21h37: | |
dommage, à mon avis, pour : "les prédations exquises" "Thaumaturge du contre sens" "rémanences infrangibles" sinon, quelque chose de très corporel, de très charnel, et donc, pour une fois, de très personnel, mais aussi d'assez lointain pour être lisible.
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hélène
| Envoyé samedi 31 janvier 2004 - 09h04: | |
so-so voilà un commentaire argumenté . ce que nous cherchons à faire ici . Merci et nous apprécions souvent les poèmes de Jean Marc. |
   
Jean-Marc
| Envoyé samedi 31 janvier 2004 - 14h52: | |
merci Hélène et so-so pour vos commentaires...Il est vrai que celui-ci aurait besoin d'être un peu élagué ... |
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