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karl
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 14h44: | |
si je n'avais pas le coeur dur comme un trottoir si quelque chose pouvait ébranler mon bitume entrer dans ma marche je fondrais comme ils fondent ceux-là qui meurent à bout de drame à bout de tomber sur la pointe du pied et si jamais, ça arrivera, si jamais quelque choc entrave à mon couloir cette neutralité fixée sur les pieds si jamais on fend le dialogue peinard entre le carrelage et ma perte avec la hache du temps -pauvres mots scandales- on retrouvera ce jour-là des trous dans la peau du grand air ou peut-être simplement pire, ta perte avant moi
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Hélène
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 18h34: | |
le coeur dur comme un trottoir si quelque chose pouvait ébranler mon bitume j'aime cette métaphore . |
   
so-so
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 21h07: | |
non, non, hélène ! je veux bien être le plus mauvais poète du monde mais apprécier une "métaphore" comme celle là, vraiment... quelle naïveté ! "si quelque chose pouvait ébranler mon bitume" j'espère que ta remarque est du second degré !! (j'espère que l'auteur est au second degré !) "hum" ou pas "hum", cette image est habitée par le dur ! personnellement, karl, ton bitume, aussi dur soit-il, n'ébranle rien en moi, heureusement ! mais bon, ça ne coûte rien d'essayer ! :-)
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ris-ris
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 22h40: | |
on dit bien dur comme la piérre . mais sur on trottoir on avance et un trottoir est de la terre protégée par du bitume. au moins les roues de fer ne peuvent la creuser , la détruire. t'es qui toi so-so je parie qu'on se connait .
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