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Favirol
| Envoyé samedi 31 janvier 2004 - 18h42: | |
Sous mes souvenirs L’écho d’une porte qui s’ouvre en cycles fauves. Fumée… D’échos blancs où les lettres se noient… l’encre sans cylindre s’évapore en sémaphores… Echos mots qui se mordent Des œillères pour scruter l’alentours. Dans ces branches un arbre et je disculpe l’ombre pour rattraper ce monde qui est derrière moi, ces rides qui s’évident pour former les rêves. Echos boucles de mes traductions volutes, œillères pour reconnaître et j’observe l’émergence d’atomes aphones, hématomes d’amour, je me détruis pour que tu me ressembles. Echos d’eau, de flammes… phares multiples qui enveloppent les cachets du futur… Echos écluses de forêts d’inconnus.
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Aile...
| Envoyé vendredi 06 février 2004 - 10h45: | |
Fumée… D’échos blancs où les lettres se noient… prémonition ?? voilà un beau texte qui n'a pas reçu d'écho . seul cet écho d'eau dont les goutelettes chantent à mes oreilles
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Favirol
| Envoyé dimanche 08 février 2004 - 11h58: | |
Merci Aile pour ce message mystérieux. Les lettres se noient peut être un peu trop... Favirol |
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