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JG
| Envoyé samedi 07 février 2004 - 20h02: | |
Les roses noires… Poète à condition Aveuglément à cœur battant, sa marche dans les lignes, couturé sous un titre, à l’encre, à petit feu … A mordre dans ma tête, les mots à pleines dents, son passé au présent… Comme pour se résoudre, d’un impossible rêve, le temps d’infiniment… Dans le vers déployé, des « non dit » aux « non lire », condamné dans le triste, au diable son talant… A supposer l’étrange, quand son verbe vous pousse, quand chaque mot bouscule, ridicule ou baroque, un monde vulnérable… Au verso d’une rime Aux mensonges Aux respires A ces dieux nés sous X L'irrespirable monde … Celui sapé dans ses chansons, au rougi d’une gorge, aux phrases dénudées, poétiquement parlant… D’éternels artifices, bâtis à mot couvert, à l’heures des néons, issues des idées noires… Les nuits millésimées des mille aux sans issues Des nuits qui s’enveniment, dans la déséccriture, méandre des démons Aux jours, de jour en jour, d’écrit comme on s’en va , d’écrit comme on se quitte, d’amour quand tout fout l’camp… Dans ses miséricordes, défunt d’une esthétique, coupable sans une arme… Avec les roses noires, des larmes à condition…
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Hélène
| Envoyé dimanche 08 février 2004 - 17h33: | |
contrastes ? ou monde et écriture poétique mis face à face ? un peu déconcertée car tu nous as habitués à de la poésie structurée. toujours contente de te voir
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