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Hélène
| Envoyé dimanche 15 février 2004 - 16h37: | |
Tu ne veux pas que je t'oublie tu voudrais que je te construise un minuscule intérieur Vie c'est quelle couleur? ce sera où dis dans mon cœur? Tu veux être libre partir ou que je parte mais tu veux vivre près de moi tu ne veux pas de mes sanglots trop loin de toi. Tu veux respirer comme avant ne pas imaginer mes pleurs cette rivière mélancolie rongeur de vie Tu as tant fait pour que je t'aime ah c'était fleur et puis poème tu voulais plus tu voulais près tu voulais mots sans un secret. tu demandais et je croyais Je trouve en moi la maison vide j'essaie d'accrocher quelques vers cette musique de ta voix comment voudrais tu que l'écho vienne vers moi? Ton absence creuse ce lit mélancolie à la rivière des larmes fières. creuse creuse au fond de ma peine à souffle scène à comédie à vrais semblants Je te le ferai ce cadeau d'un corridor froid sans tableaux le feu ne s'allumera pas tes portraits sans cadre passés n'égaieront pas les murs nuages Ne t'en fais pas je serai sage je serai calme ne serai rien même pas la patte du chien. Tu respireras mieux ... ...Demain
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Axelle
| Envoyé dimanche 15 février 2004 - 18h09: | |
Le plus beau cadeau, Hélène, c'est d'être vrai avec soi même, cela réclame du temps, beaucoup de temps. Ne pas se mentir, éviter de le faire inconsciemment ? possible ? En réponse à ton poème :-), maintenant que j'ai compris : Ne t'en fais pas je ne serai pas sage je serai lave, je serai calme, je serai paix, je serai moi salamandre et tulipe blanche même ce goût de la terre imbibée d'ondées et de morsures de soleil. Tu soupireras autre demain... :-)
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Hélène
| Envoyé dimanche 15 février 2004 - 18h14: | |
merci de ton écho. s'aimer tel qu'on est libère des amours données avec parcimonie (;-)) |
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