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konsstrukt
| Envoyé jeudi 19 février 2004 - 11h37: | |
il y a dans la maison quatre ou cinq corps qui dorment et la pluie du dehors ruisselle sur l'amiante il y a dans la maison quatre ou cinq corps qui dorment en pensant à l'un d'eux je me branle doucement mon sexe est complêtement mou tout recroquevillé j'ai du mal à l'attraper je crois qu'il restera mou mes pensées vont toujours vers ce corps endormi j'ai du mal à dormir moi j'arrive pas non plus à bander rien qu'un peu non même pas un peu mes émotions sont comme ce bout de chair perdu entre les dents de la braguette entre les plis du jean elle sont recroquevillées elles sont endormies elles ne peuvent pas grandir même si je les astique la pluie ne me rend pas mélancolique non ni joyeux ni triste c'est juste un fond sonore qui rythme mes pensées elle me rend moins seul face aux corps endormis elle rend mon décor moins dénué d'importance j'au beau fermer les yeux imaginer ce corps qui dors que je convoite j'ai beau branler mon sexe de toutes les façons il reste tout petit et il reste tout mou je n'ai plus qu'à attendre qu'à laisser la fatigue gagner
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khalid
| Envoyé jeudi 19 février 2004 - 12h05: | |
bon voyons voir! cinq corps qui dorment dans la maison la femme les deux enfants, leur grand mère et sans doute le chien à qui pense le branleur?? :-)) |
   
konsstrukt
| Envoyé jeudi 19 février 2004 - 12h16: | |
huhuhuhu ! (en fait c'était une collocation) |