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Noel
| Envoyé jeudi 04 mars 2004 - 18h18: | |
Une échelle , la plus longue , je prendrais aux rayons du soleil l'accrocherais grand me ferais , m'écartèlerais , les nuages atteindrais, les ficellerais, les emprisonnerais , dans des ballots de toiles d'araignées , aux cimes des montagnes les accrocherais, pour que toujours lumière elle ait ... S'il le faut , la nuit j'écarterais , vers les étoiles m'élancerais, dans mes bras les prendrais, les ramènerais , pour qu'encore il fasse jour ... Le moindre caillou je traquerais , la moindre brindille sur son chemin , sable et sciure j’en ferais , ferais pousser haies de rosiers , pour que les sols soient de pétales , sur lesquels elle puisse voler . Pour aile , les murs j’abattrais, et remuerais ... ciel et terre , ciel et terre ...
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chimay
| Envoyé vendredi 05 mars 2004 - 14h22: | |
profond et délicat tout a la fois, tout comme l'"arbre". On croirait que c'est l'été qui à écrit ce texte chimay
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Noel
| Envoyé vendredi 05 mars 2004 - 16h21: | |
euh , quel arbre parmi la foret ? ;)))) |
   
noel
| Envoyé vendredi 05 mars 2004 - 18h22: | |
içi , pour dire , l'été il fait bien chaud et ça " ensuque " un peu , comme mon loisir principal et d'attendre le printemps et qu'il est bientot Là lààààààllllllllaaaLLLLLLaaaaaa ( euh , je chante au printemps moi ) , je prends ce rapport a une saison comme un magnifique compliment ( tout rouge là ))))) , toutefois , j'ai modifié ce poéme avant de le mettre en mettant les verbes en arriére et j'ai peur que cela fasse perdre de l'énergie à l'ensemble , puisque que par essence , l'action et le resultat c'est le verbe et le complement ( et non l'inverse , pardi ))), enfin bref ... |
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