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Patrick Packwood
| Envoyé jeudi 17 avril 2003 - 05h29: | |
la dérive des continents en cette ère d'aller n'importe partout tout de suite avant d'y être vraiment saturé de statistiques et d'images fixes cadrées, léchées, retravaillées d'idées préconçues par d'autres de portraits en papier prémâché on pense les connaître tous ces gens qu'on a jamais vu vivre répandus sur deux hémisphères opposés rassemblés dans une Pangée technosynthétique sur toute une planète virtuelle devenue autoroute de la surface, sans bouger on pense les connaître mais lentement les continents continuent de se déplacer sous le soleil sous la lune en même temps Patrick Packwood - 16 avril 2003 -
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karl
| Envoyé jeudi 17 avril 2003 - 13h49: | |
Salut Patrick -"préconçues par d'autres" c'est curieux, c'est implicite il me semble. -"ces gens qu'on N'a jamais vuS" il me semble J'aime tes jeux de mots et certaines images, ça te ressemble bien. Salut |
   
Patrick Packwood
| Envoyé jeudi 17 avril 2003 - 15h15: | |
Salut Karl ! On peut préconcevoir soi-même des choses comme faire siennes les préconceptions des autres. Tu as bien raison pour le "vuS". Word à la maison est un peu gaga... et moi aussi rendu à une certaine heure. %-| Merci beaucoup ! Patrick |
   
karl
| Envoyé jeudi 17 avril 2003 - 18h02: | |
Oui, et la poésie n'a pas de règles de conceptualisation. Internet pour corriger, c'est nul. Karl (grand poète) |
   
Patrick Packwood
| Envoyé jeudi 17 avril 2003 - 19h51: | |
Ô grand poète virtuel (et vertueux, sans doute), ;) C'est nul si chacun reste dans son coin. La beauté de la chose, c'est de pouvoir établir un dialogue - là ça prend de la valeur. Patrick (p'tit pwet-web) |