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karl
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 16h57: | |
on ne parle pas plus du soleil on s'essouffle dans la rigueur d'un innocent clignement on n'avance plus, on erre que le ciel passe et se refasse -nos mystérieuses mathématiques en pluie- un peu plus et nos vies s'annulent et plus tard dans la brillance venue d'ailleurs nous irons trinquer à nos menues joies accouplés pour la multiplication des heures nos bras hauts-levés notre encor chant notre foi le possible est un sourire d'après la mort d'avant le roulement des moments sur le parterre
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myrrha
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 18h35: | |
Je trouve que ton texte est super, j'aime beaucoup, ça coule bien, je crois avoir déjà lu des textes de toi sur un autre site (Verlamer). Advenant que tu ai une page perso, donne moi l'adresse...et avis à tous ceux qui en ont une aussi, j'aime beaucoup visiter et explorer les pages perso surtout quand il s'agit de poésie. Karl, continue d'écrire c'est bien ce que tu fait. Myrrha |
   
Karl
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 18h53: | |
merci! Salut |
   
insoluble
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 20h44: | |
quelques textes de Karl ici
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