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Del Kor
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 22h12: | |
Vois comme on perd, un genou-terre, Sais comment taire un commentaire Ou, quand on perd un tronc-repère D'autant d'appels [être ton nerf] Etends ton père au ton d'ampère Electron, belle, tempe-attelle Attends cette aile, Etends, Rebelle au grand retard des temps de vielle (Un violent d'ingres délétère) En fontanelle - au fond, têtard Ou chanterelle... - Et d'un lézard Dingue, du phare, du gueux, des arts Du goût d'eau qui dégèle, noire / Neige à demi ? Déjà remis des reniements Ce tamanoir emet des chants Démis, déçus, des épilogues Des pirogues et m'épie, rauque - Pire, au Caire, l'eau remonte Et, menthe à l'air, l'aimante pierre Sait qu'on m'enterre. |
   
correcteur
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 22h41: | |
Ça serait pas "sache" au 2e vers au lieu de "sais"? |
   
Del Kor
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 22h54: | |
S'est parce que j'aie une licence polétique alors j'ait le droigt |
   
Noel
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 22h57: | |
c'est qui correcteur ? un cousin a l'imposteur ou un pote au facteur ( premiére régle dans la poésie il y a pas de regle , trouve toi un forum grammaire - synthaxe ;))) |
   
Philippe
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 23h11: | |
Quelle envolée Del Kor ! Toute la puissance de ton poème est dans le titre. L'effet est réussi ! Philippe |
   
corrigé
| Envoyé jeudi 15 avril 2004 - 23h33: | |
Non, je dis ça comme ça... faut pas pleurer pour si peu j'aime qu'on me corrige, j'aime la langue et tout ce qu'elle contient de "ce que je veux dire"
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Kor d'hier
| Envoyé vendredi 16 avril 2004 - 01h10: | |
Mais moi aussi j'aime bien qu'on me corrige, Et surtout avec la langue - mais je me contiens (c'est "ce que tu veux dire" ?) Merci d'être passé(s) PS : Philippe ? "Toute la puissance de ton poème est dans le titre." ? Euh... je sais pas comment je dois le prendre ça hehe |
   
Philippe
| Envoyé vendredi 16 avril 2004 - 11h11: | |
kOR Je veux dire que je vois pas l'association qu'il y a entre le titre du poème et le poème lui-même. Philippe |
   
Rémy
| Envoyé mardi 27 avril 2004 - 07h29: | |
Dans un brûle-parfum Mettre une bougie entamée, dessous Et un tout petit peu d'eau, dessus Allumer l'une et verser l'autre Et puis guetter patiemment Où le temps sera le plus compté Crépitement de rage de la dernière goutte qui bout Ou lueur de haine du dernier charbon qui s'étouffe Minuscules méchancetés |
   
amande
| Envoyé mardi 27 avril 2004 - 10h15: | |
Bonjour Remy Il y a plusieurs " Philippes qui viennent ici . philippines (;-)) qui se consument donc. quelques fleurs sur la nappe font passer l'odeur de brûlé. Merci |