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PHILIPpe
| Envoyé vendredi 16 avril 2004 - 21h56: | |
À l'ombre des arbres, près des étendues d'eau, des champignons grandissent dans les bois, il y a de la matière naturelle, on marche doucement sur les feuilles et on entend. Dans le chant des hommes, les âmes se révèlent, elles ne cachent rien, les voix les écoutent. Sans mélodie aucune vie, sans vie aucune mélodie, l'enthousiasme est ici, au choeur des choses pendant que s'interpose, les bruits du progrès: à l'ombre des grands immeubles, près des métropoles, il y a dans le contraste du bonheur et de la misère, des bidonvilles sans eau potable. |
   
Ln
| Envoyé dimanche 18 avril 2004 - 19h25: | |
contraste entre la nature et ce que nous en avons fait , depuis tant de siècles. de quoi parfois envier les pygmées ou les aborigènes . du moins ceux de qui on n'a pas coupé les arbres, la vie. |
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