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pl
| Envoyé vendredi 07 mai 2004 - 09h52: | |
Avant de se souvenir, il faut reconstruire, sinon tout s’éloigne et se fragmente et prend ce tour désastreux d’une mise à demeure, une sommation cinglante du refus de comprendre qu’un autre pan du possible peut s’ouvrir. Il faut (se) réapprendre, sortir des grandes maladies cloisonnées d’impossibles, de vibrantes négations, de folles certitudes qui ne tiennent que l’instant d’une lutte improbable et dont le seul objet serait d’enfoncer en soi-même des vérités sans assises et sans preuves qu’un désir de passer outre la faiblesse et la peur de la solitude. Le soir, c’est toujours le soir et ses silences, le désir de dire « tu vois » de toucher l’épaule, le bras et ne rencontrer que le vide et pour refuser ce vide accepter la douleur, s’accepter vide et douleur éparpillée. La solitude rassemble le fragile qui la rejète et lui donne la force d’aller plus loin que l’apparence du non-sens…
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Danilo
| Envoyé vendredi 07 mai 2004 - 10h14: | |
Philippe, ce texte dit beaucoup sans "tout" dire. C'est une approche qui laisse sur sa faim... mais peut-être parfois ne peut on dire plus sans se fourvoyer dans un discours inutile... et ne "rencontrer que le vide... |
   
le voyageur ..; qui passait
| Envoyé vendredi 07 mai 2004 - 19h40: | |
un vide plein de désir qui s'emmêlent aux souvenirs. les précipices ont des odeurs de brise printanière le soir se laisser aller , écouter les préparatifs du rêve . la nuit viendra la révélation
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le voyageur ... qui passait
| Envoyé vendredi 07 mai 2004 - 19h41: | |
un vide plein de désirs qui s'emmêlent aux souvenirs. parfois les précipices ont des odeurs de brise printanière le soir se laisser aller , écouter les préparatifs du rêve . la nuit murmurera la révélation
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so-so
| Envoyé samedi 08 mai 2004 - 21h23: | |
la nuit... simplement dormir avec celui (celle) qu'on aime. rien de plus (in)sensé... rien de plus plein... rien de plus apaisant.
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voyageur
| Envoyé dimanche 09 mai 2004 - 00h04: | |
soso tendre oui quand tu ne dors pas encore oui presque toujours puis t'envoler attendre le conte comme quand tu étais petit le conte de la vérité de ce que tu veux être ce sera ( lui ) ( elle) qui est près de toi ou le pays dont tu rêves... mais que tu ignores chaque fois différent . et qui est toi simplement
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cassapieu
| Envoyé dimanche 23 mai 2004 - 19h28: | |
Le vide c'est langoisse ou l'angoisse crée le vide? |
   
mystère momentané
| Envoyé dimanche 23 mai 2004 - 19h44: | |
le vide crée le vertige l'angoisse emprisonne. savoir si tu t'adresses à Danilo ou au voyageur pourrait influencer ma réponse. |
   
Danilo
| Envoyé lundi 24 mai 2004 - 14h04: | |
L'angoisse emprisonne le vide de son vertige... |
   
Un clair oblitéré
| Envoyé lundi 24 mai 2004 - 15h22: | |
Pour ce qui concerne le vide, nous pouvons déceler ici quelques spécialistes... |
   
Oh mais rien...
| Envoyé lundi 24 mai 2004 - 17h30: | |
""Pour ce qui concerne le vide, nous pouvons déceler ici quelques spécialistes..."" des noms.... vite... |