Auteur |
Message |
   
adrian
| Envoyé vendredi 14 mai 2004 - 20h42: | |
les vacances brûlent leurs dernières chandelles mèche courte la mer cogne le blockhaus comme une conne jusqu’à ce qu’il devienne sable les poètes ramassent les vagues cassées voyagent dans des pays de nacre font des poèmes de tout et de rien comme ça comme des cons des petites notes d’embruns grimpent sur le pare-brise comme une fugue de Bach Bush fait la guerre des sacs plastique s’accrochent à la vie sur la dune Corto Maltese à son foulard de varech quel con ! dans la vitrine du restaurant un poète désarticule une langoustine nue à genoux ...
|
   
Hélène
| Envoyé dimanche 16 mai 2004 - 09h20: | |
si on pouvait supprimer les phrases contenent cet adjectif très imprécis " con " c'est un très beau poème réel , un peu désenchanté et qui pourtant souligne la beauté impérissable de la mer et c'est cette beauté qui gagne malgré tout voila ce que j'ai ressenti. auteur nouveau ou qui a changé de pseudo pour un jour ?
|
   
adriatique
| Envoyé lundi 17 mai 2004 - 13h37: | |
mé non chère Hélène (de Troyes?) c'est pas un poème, c'est un anti-poème |
   
lénandoullette de 3
| Envoyé lundi 17 mai 2004 - 14h03: | |
quat/cinq six cueillez les cerises sept huit neuf batteez bien les oeuffffss tu sais bien que j'ai rejoint Paris ! alors je t'envoie une anti-réponse . je te connais? toi, Hadrien empereur des mers chaudes?
|
   
kiitos
| Envoyé lundi 17 mai 2004 - 14h38: | |
ça fait plaisir de te lire |