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BouBoul
| Envoyé dimanche 23 mai 2004 - 04h43: | |
J’ai du mal à comprendre, j’ai du mal à entendre mon fils, Pourquoi n’ai-je pas cette capacité, cette sensibilité que d’autres mettent en bandoulière Tant de choses nous séparent alors que tant d’autres devraient nous réunir Je t’entends mal mon fils, tu sais, mes oreilles sont fatiguées Mes gestes sont lents et mon cœur est las Je n’ai pas su ou pas pu te parler, mon fils, je le regrette profondément Pourtant je ne t’abandonne pas, j’avance, je cherche, je te cherche, Mais je n’arrive pas à te rejoindre, tu es en avance sur moi ou Peut être n’ai-je jamais su prendre le bon chemin, Comme deux promeneurs qui marchent sur deux routes parallèles. Pour me soutenir, j’imagine toujours que nos pas s’accorderont Plus tard, dans combien de temps, mais ne sera-t-il pas trop tard ? Mon fils, j’attendrai, je t’attendrai quand tu le souhaiteras je serai là.
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LN
| Envoyé dimanche 23 mai 2004 - 12h26: | |
Je ne sais qui tu es Bouboul ton style me souffle que tu n'inventes pas un personnage que tu es désemparé(e) pardon si je me suis trompée. ton fils te reconnaîtrait -il s'il te lit ici . Ce n'est pas un poème mais j'ai voulu t'écouter. Plus on aime plus on a peur si on veut écouter je crois qu'il faut le faire presque en silence. une main sur l'épaule des oui qui viennent du coeur, montrer plus par un regard , un geste, qu'on est là coeur et âme. et attendre. essayer d'oublier sa peur , et essayer même de s'oublier peut être?... ce n'est qu'une suggestion. Il parlera peut être plus facilement à quelqu'un qui l'aime juste un peu moins. l'essentiel est qu'il trouve un miroir. je te souhaite l'espérance et la confiance . en attendant essaie d'écrire en poésie ou une nouvelle pour t'écouter, Toi !! dans ton langage profond. et parfois un poème s'entend mieux il devient un voile léger qui aide à s'approcher avec ma sympathie |
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