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JM
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 21h54: | |
La poésie cri faillite augurale Mont intrépide où piétiner les mirages où passent mouettes et taxis près du Luxembourg terre errante le soir après l’ardeur musquée du jour avachi de solitude Roué de paroles comme un automate une machine à café Juste une parole pour emplir le regard le corps de sensations si frêle dans sa carapace de chair et de sang rouge. ***** Si mécanique la démarche au gré des heures et des forces conjuguées du système nerveux enclin à au dépérissement La soute le cœur effeuillé à force d’ivresse Le souffle court et la tête scarifiée Une musique sauvage égrène les secondes le printemps en suspension comme les lignes des couloirs illuminés de néons Eclat d’un terre sous la terre Métropolis c’est ici
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LN
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 22h08: | |
je ressens la lassitude d'un homme qui voudrait trouver r un peu de nature après une journée difficile et qui est rattrappé par la ville sa poussière les klaxons j'ai vu Paris , la foule , et même les visages ternes et inexpressifs des gens qui attendent le métro dis moi si je me suis trompée |
   
JM
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 22h22: | |
Bien vu Hélène c'est tout à fait ça ! heureusement j'ai fait un peu de taichi en rentrant...ces mots sont comme les pages arrachées d'un journal... très touché par ce que tu as écrit récemment sur ma poésie comme les autres membres de Francopolis amicalement à tous Jean-Marc
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Ln
| Envoyé samedi 05 juin 2004 - 08h48: | |
Liette m'a beaucoup fait parler dans sa présentation . je suis un peu intimidée mais comme j'ignorais les noms des auteurs au moins tu sais que j'étais sincère j'avais aimé ces textes |