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Message |
    
Philippe
| | Envoyé dimanche 20 juin 2004 - 22h13: | |
Sous les ponts suspendus,
Un angle de vue harmonique dessine un fleuve.
Un bateau, dans sa voile, trace le sillon.
Sous les ponts suspendus ça change, au fil du temps.
Temps passé et recomposé.
L'imprévu, parfois, vient à vous, on se laisse alors surprendre.
Temps présent et impératif.
Sous les ponts suspendus, des formes mouvantes se reflètent dans l'eau. |
Teri
| | Envoyé lundi 21 juin 2004 - 00h24: | |
Tu m'as donné une idée de texte, les ponts suspendus me fascinent parce qu'ils m'intimident, voire m'effraient, et je n'ai jamais vraiment écrit sur ce sujet, hormis quelques passages qui mentionnent le pont "25 de abril" à Lisbonne, au-dessus du Tage.
Ton poème décrit très bien l'univers qui gravite autour de (sous) ces ponts, laissant au lecteur le libre choix du lieu que le texte décrit (pour ma part j'ai choisi de le situer sous mes deux ponts "chéris d'entre tous", le "25 de abril" et l'interminable "Vasco de Gama", à Lisbonne)
Mais toi, Philippe, quel pont t'a donc inspiré ? |
philippe
| | Envoyé lundi 21 juin 2004 - 11h34: | |
Aucun pont particulier, j'ai juste imaginé un pont suspendu en observant un pont normal ou alors je m'en souviens plus.
Philippe |
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