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Teri
| Envoyé samedi 17 juillet 2004 - 22h03: | |
Le chancelant de ces nuits Tranchées du frémir des brumes L'emmène au hasard grisé Des premiers songes Au dédain des bercées * Aux chutes comme gravées Dans le ténu d'un présage Au s'étiolant désir D'approcher le grenat Que les nuits très noires Souvent dissimulent Et d'où les clairs Jaillissent En effilé d'aube * À la mort dansée Du sombre éclat des pentes Au dédain jamais ne cessant des bercées |
   
Ali
| Envoyé samedi 17 juillet 2004 - 23h54: | |
Belle musicalité offrant au poéme possibiltés d'être chanté! Merci Teri |
   
Arno
| Envoyé lundi 19 juillet 2004 - 22h02: | |
Rêves se heurtant, très intérieurs, presque hermétiques. |
   
Teri
| Envoyé mercredi 21 juillet 2004 - 00h28: | |
Je voulais un poème musical et d'une certaine façon hermétique, vous m'avez percé à jour... Ali ton compliment me flatte mais malheureusement je chante comme une marmite... |