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philippe
| Envoyé mercredi 21 juillet 2004 - 12h53: | |
À l'ombre des chants monotones Au jour transparent À la nuit profonde sans apparat Je glisse sur la glace de l'hiver. Aux préjugés inhérents Aux idées reçues Aux clichés Je me noie à l'eau de la méditéranée. Aux solstices enrobés de nudité Aux champs des blés À la croix gammée faisant front à la faucille du marteau Aux murs porteurs des maisons Aux arcs-boutants des édifices Aux arbres detenteurs de fruits Aux plantes accueillantes de fleurs Aux toiles de la peinture chinoise Aux élans sans élans Aux nouveautés sans nouveautés. Trait pour trait, en portrait exigeant, de moi, je transpose, sur les banc publics des étoiles, à la porte entrouverte des ciels d'azurs, mon âme en apothéose à mon corps porteur, sur laquelle, j'ai travaillé comme un sculpteur. Philippe |
   
Ln
| Envoyé mercredi 21 juillet 2004 - 19h00: | |
bancs sur les étoiles comme sur cette place où on est drôlement bien en ce juillet .
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