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Message |
Ali
| Envoyé jeudi 29 juillet 2004 - 16h15: | |
Et quand ton gris ravi sur la page glisse Par tes heures affolées me dessine tes voeux S’anime ma noyade en silence dans tes mots Et je frémi d’amour pour tes chemins qui montent Ainsi au supplice des cœurs enflammés d’amour Tes ombres cachées sous ta lumière des mots Angoissées enchantées des envies de m’aimer Persistent à dire que c’est la faute au temps ! Et moi qui accède toujours à tes beaux plaisirs Je ne demande que ma part unique des mots Eteint d’attendre mon cœur gris de nuances En vierges pages je te l’offre pour tes encres Seulement ne me laisse pas l’envie de mourir En mon âme amère de cataractes de discorde Moi qui t’aime et veux encore toujours de toi Plante tes mots d’amour au creux de ma blessure. Tu veux ?!
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Cécile
| Envoyé jeudi 29 juillet 2004 - 21h12: | |
Beaucoup de sensibilité dans ce texte mon cher Ali. Bravo à toi ! Hip hip !... (?) |
YV
| Envoyé jeudi 29 juillet 2004 - 22h44: | |
C'est vrai, Cécile qu'il y a chez Ali beaucoup de sensibilité, mais la forme cette fois me semble moins heureuse. Du moins je la trouve ainsi.... |
Cécile
| Envoyé vendredi 30 juillet 2004 - 08h37: | |
Oui, il y a peut être un petit travail à faire autour de ce texte pour le rendre plus fort, plus beau... |