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PHILIppE
| | Envoyé samedi 31 juillet 2004 - 11h35: | |
Au flanc rabattu au cocon blanc,
l'écrémage des possibilités ouvertes est un dilemme.
Il suffit, d'une éternité close au vivant, pour l'apercevoir.
On voit, l'oeil serein, le grain de blé, aux paupières fermées.
N'est-il pas le sens caché du sacré ?
La porte définitivement verrouillée au profane ?
Pour quelques auditeurs ou lecteurs ou pour tous ceux qui lisent,
au plus loin, je puis m'en souvenir.
Se battre, se défendre, pour ce faire entendre est d'une relativité absolue.
Au flanc rabattu au cocon blanc.
reste voilé l'aura des couleurs aperçues ; rouge, blanc, bleu.
Philippe |
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