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JG
| Envoyé jeudi 12 août 2004 - 13h07: | |
Croirais-tu seulement l’étrangeté du mal… Celui qui vie de l’autre, celui qui vie que pour ton bien Croirais-tu la faiblesse, celle qu’on t’offre nuit et jour, en million de couleurs Celles des arbres morts, que tu regardes prés du feu, dans l’âtre de la télévision Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise…Que tes larmes sont belles ! Et ces amis que tu reçois, pour réchauffer tous les silences Leurs traîtres mots qui se confondent à ceux qui te font rire, quand tu te sers à boire Cette amitié qui te rassure, d’au-delà d’une danse… Celle d’avoir comme elle, suffisamment pleuré Le croirais-tu, alors, l’étrangeté du tout, celle fondue en toi, cette belle arme douce, qui pourtant te fait vivre… Et celles des grimaces… Et celles des grimaces ! Le croirais-tu encore ? Et si je te disais, que le mot liberté, fracasse tous les murs... Le croirais-tu vraiment ? Et si les murs ne l’entendaient pas ? Et si les murs ne s’entendaient pas ? Le croirais-tu vraiment, que le mot liberté, efface chaque mur et qu’un autre l’entende ? Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise… Que tes larmes sont belles ! Faut-il que je te dise, l’étrangeté de moi Faut-il que je te dise que plus rien me fait mal… J’ai remplis tous les verres… Aux armes mes amis !!! Faut-il que je te dise La peur de te faire mal Mais toi ! Me croirais-tu ? Faut-il te l’entendre dire… Que mes larmes étaient belles !
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