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Ali
| Envoyé dimanche 15 août 2004 - 13h50: | |
petite folie petite folie grise silencieuse des lointaines lisières imperméables tes louffoques élans vers le visage des ombres et lumières de la face balafrée de mes océans bleus en sommeil agglutinés merveilleusement au miroir des belles ruines d'enfance trempent leurs cils dans ma voix et en scribe sur un grain de sable craquellent au quotidien mes murs. Petite folie!! ***************** Je "c"rêve! je "c"rêve.. et je chante autant le charmede tes printemps évaporé dans mes nuits gravées par ta glu douce sans roseau deversée dans mon coeur portail d'écho de toutes les chenilles de ces tsars par qui vient la nuit des temps et toutes les menaces matinales tombées franchement d'un rève, que ta musique,ta cuisine ,tes toiles tes vies ,tes troncs,ton honneur tes raisins solaires , ta prairie et toute cette poétique étendard des mots que tu m'as tendrement offerte qui berce encore mon salut et caresse du rose mes peines.
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Cécile
| Envoyé dimanche 15 août 2004 - 13h58: | |
J'ai beaucoup aimé le titre Ali. Dans la dernière partie du texte on sent le rythme qui s'accélère et elle aurait presque pu être sans retour à la ligne. Il y a de belles trouvailles : "petite folie grise", "face balafrée de mes océans", "quotidien de mes murs"... toujours ce thème de l'enfance qui surgit... Je pense qu'il y aurait des petites retouches à faire pour rendre ce texte plus beau encore. (pourquoi pas l'ouvroir ?) Dans la deuxième partie se mêlent les rêves et la réalité, le quotidien : cuisine pour la quotidien, les toiles imagent très bien le rêve... |
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