Auteur |
Message |
   
jml
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 05h00: | |
Laisse-moi sauter de mes mots à tes bras, écrire en braille sur ta peau. Laisse-moi lire en toi, ouvrir tes jambes comme un livre, faire éclater la vie, les vagues dans la mer, la fleur dans le fruit, l'espace tout entier dans le trou de l'espoir. Laisse-moi glisser le signet de mon sexe dans tes pages pubiennes. Nous écrirons la vie à même notre chair.
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so-so
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 09h27: | |
perso-so, je serais une gente représentante du beau sexe, je ne suis pas sûr que j'apprécierais plus que ça les métaphores de ce texte... je trouve qu'il traduit une vison plutôt "passive" de la féminité, comme si le corps de la femme était tout juste bon à "con-signet" les exploits quasiment divins d'un mâle créateur... (et je parle pas du désir d' "écrire en braille sur ta peau" qui a un petit côté sado, mazette !) (ah si, tiens, j'en ai parlé...) quant à l'expression "trou de l'espoir", je la trouve particulièrement déplacée, voire vulgaire. mais bon, ma perception est peut-être elle-même déplacée dans la mesure où mon regard est plutôt masculin à la base. :-) je serais tout de même assez curieux de savoir ce qu'en pensent nos fidèles lectrices... |
   
Mouchette
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h31: | |
personellement je préfère les grandes envolées d'un duo bien emmanché aux interminables solo de mandoline |
   
flo
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h36: | |
je suis assez d'accord, so-so. mais bon, l'amour rend parfois un peu excessif dans le langage :-) c'est pas que ça me choque, mais ça ne me séduit pas :-) Flo |
   
re mouchette
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h38: | |
nota bene n'étant pas originaire de la région de Sodome je préfère de loin l'expression "trou de l'espoir" à trou du cul |
   
sot d'homme ego more
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h46: | |
ce pédant revient-il bien de Nice ? |
   
une lectrice fidèle
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h50: | |
Cher délicieux (parce que je goûte souvent) so-so, polémiste "chambranlant" s'il m'en souvient, Quant à moi, lectrice fidèle, je ne vois dans ces métaphores aucun machisme de mauvais goût (excusez la redondance), non plus que de perversion - bien qu'une lecture braille eût sans doute été effectivement d'un doigté ~]^ plus heureux. La femme, ici, reçoit la demande de consentir et l'homme sait manifestement qu'il sera reçu, accueilli et embrassé par la chair qu'il souhaite "marquer" de la fleur de son désir. La "crudité" de l'expression que vous relevez ne me gêne pas dans ce texte de nature intime, particulièrement du fait qu'elle n'est pas à caractère insultant. À vous lire, polémiste compulsif |
   
muse sensuelle
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 10h53: | |
peut être parler un peu plus par métaphores. je n'aime pas trop le mot " trou " (:-) qui me rappelle un type qui voyant entrer son épouse avait dit à un groupe qu'il animait , " ah voilà mon trou qui arrive " ce qui avait beaucoup choqué les dames et même quelques messieurs. j'avais par contre apprécié la chanson "imagine " de Mort Shuman dans laquelle il dit " ouvre la vie " ce que suggère JML dans un passage je copie le texte en commentant ce qui me ferait me " fermer " il faut éviter un échec à notre poète non ? mais les québécoises sont elles différentes des françaises ? question posée à à notre miaouwww griffue ... sourire Laisse-moi sauter de mes mots à tes bras, écrire en braille sur ta peau. (braille bon ça passe mais quelle patience ! ) Laisse-moi lire en toi, ouvrir tes jambes comme un livre, ( lit on dans le livre de l'âme et de la tendressse par cette porte là ? ignorerais-je mes trésors littéraires cher Monsieur ? faire éclater la vie, les vagues dans la mer, la fleur dans le fruit, l'espace tout entier dans le xxxxxx de l'espoir. ( suggestion rapide et plate : le couloir de l'espoir mais ça casse le rythme . à chercher mieux par JML ... ) Laisse-moi glisser le signet de mon (sexe ) dans tes pages (pubiennes. ) en général je n'aime pas trop les mots trop primitifs un tantinet médicaux. m'enfin ! j'aurais l'impression d'être e,lacée par un gynécologue . Question de goût Catherine Millet adorerait sans doute Nous écrirons la vie à même notre chair. la fin me plaît avec beaucoup de sourires et de clins d'oeil so-so ! préfèrerais tu soulever les lièvres que les jupons ?
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sot d'homme
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 11h25: | |
(c'est une contrepèterie) |
   
mary
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 11h46: | |
Chers amis. La question de so-so me semble pertinente. Supposons qu’elle le laisse : « sauter », « lire » « glisser » et elle fait quoi ?
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so vicious
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 11h47: | |
tiens, en lisant la fidèle lectrice, me revient une chanson de Lou Reed qui m'a toujours fait beaucoup rire : "Vicious, you hit me with a flower You do it every hour Oh, baby you're so vicious Vicious, hey why don't you swallow razor blades You must think that I'm some kind of gay blade But baby, you're so vicious"
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so-so
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 11h53: | |
voyons, Mary, elle retourne sur son étagère de bibliothèque après usage ! ;-)
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so-os
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 12h01: | |
ma muse, nous n'allons pas commencer à parler ici de jupons, de lièvres et, pourquoi pas, de lapines pendant que tu y es ! (mais y es-tu ?) je ne veux pas être responsable d'objections qui pourraient être soulevées à leur tour... (et jusqu'où nous arrêterions-nous si nous nous engagions sur cette pente que d'aucun(e)s s'empresseraient peut-être d'enduire de vaseline ???) hein ? hein ? hein ! |
   
Ali
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 13h04: | |
"dans le trou de l'espoir" le mot "trou"me semble poétiquement vulgaire ,du moins dans ce contexte; je préfère utiliser à sa place le mot par ex ;"l'abîme" et si ça ne resonne pas bien avec "espoir" alors on peut le remplacer par "espèrance" ce qui donne:" dans l'abîme d'espèrance" un vers je crois qui va bien avec la fin de cette deuxième stophe!Car le poéme est composé de 3 strophes;3vers,7 vers puis 5 vers. Ma deuxième remarque concerne le mot "sexe" que je trouve pas du tout poétique;à sa place ,surtout puisque il s'agit de sexe/ecriture,j'utiliserai le mot "roseau"ou "calame": Laisse-moi glisser le signet de mon calame( ou roseau) dans tes pages pubiennes. Nous écrirons la vie à même notre chair
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Ligue de Défense des Trous et des Sexes
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 13h24: | |
Pas d'ac, cher Ali. Le mot "trou" n'est "poétiquement vulgaire" que si on le veut ainsi. Il contient tous les possibles. Voir la mystique qui peut se développer autour du thème des trous noirs. Je trouve les trous merveilleux et très poétiques. Ils nous renvoient à notre part ignorée, non cartographiée par un rationalisme pas si tout-puissant que ça, au fond, puis qu'il reste des trous, des Terra Incognita. Un monde sans trous serait affreusement ennuyeux. Le trou est le tremplin de l'élan mystique! Il tient le monde, il tient nos volets, nos portes, nos fenêtres, nos fondations, nos clous et nos vis ! Nos légumes ! Nos panneaux de signalisation ! Quant à l'assimilation entre le sexe de la femme et un simple "trou" au sens péjoratif, eh bien, celui qui a fait la dite assimilation n'a jamais bien regardé dedans :-) Et "sexe", je trouve ce mot passionnant. Ce "x" a une grande force, au sein du mot, sa sonorité aussi est passionnante, serpentine, fluide puis claquante et même son aspect visuel, quand il est écrit nous en dit beaucoup. Ce x qui fait une roue entre les deux e ! Si on la fait tourner, mamma mia, que va t-il arriver ?
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astronauter perdu
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 13h39: | |
Kxxxxsssss!!! égarons nous dans les précipices deux " e" battus avec des trous de gruyère font un plat très dieu d' éthique ! mais avez vous une lampe de poche?
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Ali
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 13h57: | |
Je ne dis pas de manière catégorique que "trou" et "sexe" n'ont aucune valeur poétique! Mais pour mon oreille ça ne résonne pas bien dans le contexte de ce poéme érotique! les deux mots "trou" et "sexe" font du texte un poéme pornographiquement boitant!! Merci |
   
recette à 6000
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 14h00: | |
"Ce x qui fait une roue entre les deux e ! Si on la fait tourner, mamma mia, que va t-il arriver ?" 1. la subtile force centripète du x en chaleur provoque un échauffement puis un bouillonnement des fluides 2. grâce à l'afaissement du trou de l'espoir, les "e" (mais aussi les les volets, les portes, nos clous et puis nos vis) serpentent vers x 3. laissez cuire et vous obtiendrez deux délicieux "e" au plat... pourquoi ? |
   
Ali
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 14h20: | |
Pour faire tout celà il te faut des "e" de métal! tu crois que nous sommes dans une usine de métallurgie ou quoi!!? Le bel amour n'est ni mécanique ni électronique!! |
   
la petite fourrure en bottes
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 16h02: | |
hihihhahAHAHAhahHAhahz'êtes drôles premièrement ce que j'en dis : il n'y à pas de mot non-poétique, c'est l'utilisation, la manière dont le mot s'articule dans la structure du vers qui peut faire défaut, l'emploi peut être sans valeur ni sonore ni rien s'il n'a pas d'écho dans le texte ( effet coup de gueule qui tombe à l'eau ) secondement ce que j'en dis : la vulgarité est dans l'oeil de celui qui la voit... autrement elle n'existe pas vraiment ; on projette sur les mots les affects et connotations de manière subjective ( tout protagoniste parlant de vulgarité l'aura à tout le moins partagée, rencontrée, vécue, subie, arrosée au moins une fois dans sa courte existence ) troisièmement ce que j'en pense : de l'érotisme en littérature poétique il est facile de tomber dans les pièges cuculs, ou d'estropier la pièce, la rendre ridicule : l'érotisme est une des formes d'écriture les plus difficile parce qu'il faut que l'auteur ait assez de recul en lui même pour porter la suggestion jusqu'en le liseur; ce qui excite l'un(e) n'excite pas l'autre pour autant... les suggestions sexuelles masculines ne sont souvent pas valides pour la gente féminine. Sexuellement l'homme est dans le temps/l'instant comme par flash visuels et sensitifs et sa comparse est dans l'espace et l'histoire ( dans une sorte de continuité qui s'échelonne par palliers ; pour écrire de l'érotisme il faut au minimum ces notions..sur la manière dont fonctionnent et se stimulent les désirs sexuels chez l'homme ET la femme, comment fonctionnent les psychées qui génèrent les sensations et/ou autres) ensuite le sujet générant la parole doit s'effacer au profit du recevant, lui laissant toutes libertés d'actions/interactions dans ledit texte ( si le [je ] ferme par mégarde le texte, le receveur ne pourra pas aller puiser dans ses propres représentations mentales, et intégrer pour générer une part sous-jacente du texte, évoquer en lui-même ce sous-jacent, lui donner vie ) hm...le texte ( approche jml, je vais te griffer gentiment...)je vais te faire du vers à vers ( un drôle de tango, Idalgo de leurs coeurs ! Laisse-moi sauter ( l'entrée est un comportement d'enfant, si c'est un adulte, le receveur de cette pulsion risque de se casser la gueule, cela dénote d'une certaine maladresse...) de mes mots à tes bras, ( oui, agis et ne parle plus... a-t-on envie de dire ) écrire en braille sur ta peau. ( écrire le braille ici doit être aussi douloureux qu'un tatouage...ou une scarification... lire le braille, ton grain de peau... à travailler ) (à titre d'exemple certaines images du film "la femme tatouée" sont plus évocatrices que ce vers à mon sens) ( va chercher la matière de cette sensation que tu imagines/ressens en toi-même pour la donner/offrir à l'autre ) Laisse-moi lire en toi, ( bon, faut-il être aussi impuissante et subir, être si ...docile ? ça me titille pour "elle", ou est-ce là la marque d'une impuissance masculine, marque inconsciente s'entend... ) ouvrir tes jambes comme un livre, (ouvre le livre de tes jambes - au moins "elle" pourra agir un peu... quand même ) faire éclater la vie, les vagues dans la mer, la fleur dans le fruit, ( convenue = lieu commun ) l'espace tout entier ( et c'est très énumératif là..) dans le trou de l'espoir. ( l'espace tout entier dans le trou de l'espoir... la bouche du néant... en fait l'image n'est pas assez poussée pour "anéantir intérieurement" la belle, la faire fondre, il n'y a pas de choc émotionnel/physiologique/biochimique produit, l'effet initial ne fait pas "mouiller" ni saliver ni rien, parce que c'est une image/instant essentiellement masculine, hors le poème s'adresse au beau sexe ) Laisse-moi glisser ( encore ?... si je bouge tu débandes ? si je parle aussi ?? ) le signet de mon sexe dans tes pages pubiennes. ( il voulait feuilleter les nymphettes comme un dico ??? le signet de mon sexe je travaillerais aussi l'image, pour l'évoquer plutôt que la dire... dans tes pages pubiennes... ou bien tu inverse "tes pubiennes pages" ou bien tu travailles aussi cette image, tu la pousses plus loin, dans l'évocation.) Nous écrirons la vie à même notre chair. ( c'est un peu lieu commun... et c'est un "en pleine action" donc au présent - c'est extrêmement important - si à la fin tu n'es pas dedans tu parles au futur...c'est que ça a foiré, si en "parlant" tu as conquis tu es dedans donc c'est une action présente, donc "Nous écrivons la vie à même notre chair" mais en fait... c'est la vie qui s'écrit sur nos peaux...) maintenant je dirais que la forme n'est pas adéquate, ensuite le [ je ] oublie la belle au lieu de s'oublier ( ça donne ...une éjaculation précoce et pas de plaisir pour la compagne )... euhm... et laisse-moi laisse-moi blabla, c'est surtout ça la forme... cette supplique là c'est... ça me donne le goût de dire "Non" euhm... la supplique ...contient un pathos qui n'a rien pour " charmer" ou encore c'est vouloir convaincre... con-vaincre... moi je ne suis pas con-vaincue... soit dit en passant, la femme se rend pendant l'acte sexuel, cette soumission réelle et totale, cet anéantissement de soi par/vers l'autre, cet abandon obligé pour la jouissance féminine ne dure que... sept minutes tout au plus ;¬) très peu con-vaincue... rarement con-battant mais moi, je suis une drôle de femelle... je suis Alian, donc ça compte pas lolllllllllllll voilà ma lecture et mes... euhm...idées quant au poème... je suis désolée si je blesse ou quoi que ce soit du genre, ce n'est qu'une lecture, et euhm...bien que j'essaie d'être constructive, je ne suis pas ... une sommitée jml, ta boîte à image est très bonne, mais souvent quand je te lis j'ai une impression de...facilité... quand je dis " pousser l'image " c'est parce qu'elle a à mon sens un potentiel qui n'est pas exploité, mais qui gagnerait à l'être, et qui rendrait ton écriture plus forte Catrine p.s. So.. mon chambranleur exquis et brutal dont les eructations conviviales et autres connivences me...séduisent... j'ai mal sans mes moustaches ! |
   
souris verte
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 16h15: | |
héhé chaton alian si tu veux mais pas Ailen !!ne confondons pas . la connais-tu ??? Aaron devrait rire . c'est vrai que so-so me fait beaucoup rire. et les femmes aiment rire ça ouvre ... le dialogue quelquefois. (;-)) bonne vie à tous |
   
Alian en fourrure et en bottes
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 16h45: | |
c'est ki Ailen ? ( dis tu rigoles Aaron ? :¬) question ouverture je ne tomberai pas dans le trou/puits/gouffre/panneau/sujet... souris verte... prend garde à tes moustaches ! x |
   
Moha
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 16h49: | |
Heureux sommes nous avec des merveilleuses personnes comme cette Petite fourrure botée!!!Merci |
   
so-so
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 17h09: | |
très excitante lapine bottée (à moins qu'il ne s'agisse d'une doublure, en quel cas tu ne serais qu'une vulgaire (!) canadienne et j'aurais l'impression de me prendre une sacrée veste en peau de mouton, mais bon...) je suis très impressionné par la ferveur et la précision de ton intervention gorgée de féminitude ! du coup, mon envie de chercher et de poster un petit texte érotique de derrière les fagots est légèrement atténuée (je redoute de subir tes foudres et tu serais bien capable d'en profiter pour mettre le feu à mes fagots, or l'hiver approche, mine de rien) "la vulgarité est dans l'oeil de celui qui la voit...", dis-tu. en l'occurence, j'ai parlé de vulgarité parce que je trouve que comparer délibérément un sexe de femme à un "trou" manque de délicatesse (même si c'est celui de l'espoir et même si le membre (!!!) d'une ligue obscure nous a expliqué qu'un trou pouvait avoir son utilité, supporter et accueillir bien des choses, le malheureux !). de plus, le désir de vouloir y faire "éclater" tout un tas de trucs en réclamant une certaine passivité de la part de celle qui y consentirait, suppose une certaine violence qui, perso-so me déplaît passablement (d'où mon allusion à certaines pulsions du même métal) alors effectivement, le terme "vulgarité" n'est probablement pas le plus opportun. p.s. je t'envoie mon adresse email incessamment sous peu... |
   
Catrine le chat alian la fourrure et les bottes
| Envoyé mardi 17 août 2004 - 17h41: | |
mon dieu mon dieu...So ( multichocs lolll) ahem... pas la pine bottée okay ? ça me tente pas (suis pliée de rire)( c h a t pas lapin :¬) la canadienne c'est pour les blizZzards, ni vulgaire ni mouton - les matières évoluent parfois plus vite que les hommes.. - et moi je suis québécoise, na! ))) pour ton fagot ( qui ne risque rien... n'a rien ;¬) ( en passant tu avais bien aimé que je te décortique...sur l'Orphe, non ? )))) ensuite... je comprends très bien la "vulgarité" sous ton point de vue en effet, c'est pas très délicat trou, c'est vrai que... okay je suis d'accord avec ce que tu dis mais en partie, parce que bon c'est un trou tout de même, un chat c'Est un chat et un trou c'Est un trou... une percée, une entrée/sortie...dans le texte ce mot a un effet... sordide/cloaque inconscient et invertébré... et il réduit la femme, dans son essence, son symbole, en fait... c'est phalocrate ( comme la plupart de ce qui se fait en pornographie ou en érotisme ) non... c'était pas le mot approprié... mais j'en ai pas trouvé un autre pour "vulgarité" dans le sens où tu t'en sers... "déplacé" fait pudibond...et c'est pas ça...je reste avec phalocrate... mais zut ça coince, comme un os... hum... pour le post-scriptum...avec plaisir, quand tu veux |
   
jml
| Envoyé jeudi 19 août 2004 - 07h27: | |
Je n'écris pas l'immense, l'innommé, l'absolu, ni la poutre dans l'oeil. On perd de vue la mer. On se souvient d'une vague. On oublie le déluge, pas une goutte de pluie. |
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