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so-so
| Envoyé mercredi 18 août 2004 - 17h16: | |
ainsi, ma peau d’homme mise tamise l’eau qui me dessine le flot se presse et s’insinue désir ténu vers ma promise les lignes de ton corps m’amusent comme un démon qui danse nu ta peau aime que je m’infiltre que fuse l’onde comme un signe tes paumes rondes se compriment comme des rives sur ma trombe d’un jet mon fleuve se délivre et nos chairs fondent au plus profond
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Cécile
| Envoyé jeudi 19 août 2004 - 20h13: | |
Bon bah tout le monde se lance dans l'érotique alors... Moi je ne ferais pas de débat sur le fond, mais sur la forme j'ai une petite chose à dire, j'ai eu tendance à lire beaucoup de kiki et de keke dans ce poème So-so, c'est juste une remarque en passant. |
   
so-so
| Envoyé jeudi 19 août 2004 - 20h58: | |
hé ! ça change de lire des poutres dans la lorgnette du trou de l'espoir de l'autre, non ? |
   
Cécile
| Envoyé jeudi 19 août 2004 - 21h55: | |
éh éh !! Voici ma version du désir que j'ai peut être déjà postée ici je crois! corps nu vertical mi-cheval mi poisson nu pulsations nage l’océan sur l’horizon abondant du désir bleuté l’épi est inversé la fibre est botanique le cœur est un filet une figure géométrique qui cachée derrière un ipéca oriente la pointe du compas d’un coup de lune en forme de trombone sous l’effet de quelques verres de porto un bouquet d’eau de Cologne en forme de trombone se déhanche et se balance vers le désert, l’hypoténuse
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