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pHiliPPe
| | Envoyé vendredi 20 août 2004 - 23h19: | |
Quand nos aînés que nous avons tant aimés, nous aurons quittés,
il restera toujours trace de leur passage.
Un ciel bleu, une prairie, une eau cristalline ;
ils sont de la même culture mais notre culture commence à la naissance,
tandis qu'ils ont rejoint les étoiles.
Un pas dans les leurs afin de rythmer la marche que nous entreprenons.
La nature enfantée en toute ses subtilités est un pré,
La rivière à la lune est une soeur,
Un sourire terrien aux sentiments brillants de la nuit,
Un regard dans un autre regard,
Une main à cinq doigts sur un crâne,
ou qui sert une autre main,
Une bouche sur une joue enjouée,
Un mouvement au vent portant en son sein, les courages espérés
Quand nos ainés que nous avons tant aimés,nous aurons quittés,
Ils nous restera à retrouver le sillage de leur esprit et de leur fantaisie.
philippe |
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