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el kor
| Envoyé samedi 28 août 2004 - 03h41: | |
Mais asseyez-vous donc... - Non merci, je me descends à la prochaine" La colline de l'Observatoire des Mouvements de Ville Impose son fardeau, Juste comme on lève dans la brume Tous nos mouvements contraints, par nature, déniés. Les grappes annélides (foule dissuadée) Se découpent largement Sur la saison des arrêtés : Nous, Mon-Ange, Vu l'éberlué de procession, Corps III, branche I, âmes K 2306.3 à K 2308.4 Vu la longue rixe d'intérieur, tamisée, Vu la vibrance au regard tourné, prescrit, couvert de votre effervescente peau, Considérant que le sucre ne présente bien qu'en gélule, Considérant qu'on ne s'aperçoit que des ombres, des ventres tendus vers l'eau, Considérant l'élan dont un reste-fixatif et le libre cachet d'un ordre murmuré prennent part à cet amour, Ankylosons, Notre corps et ses prolongements techniques : L’étrangeté de l’Autre se précise lentement, La question lancinante Du sens Au fond La marge par excellence, lasse des faux rebonds d'aile Plus synthétiques au nom des sourdes victoires d'équilibre, Péremptoire, échafaudée comme l'aimant qui prend sa base Ces êtres sans feu ni lieu, dont la présence obstacle. Ce fond de lotion de Nuit rejettant la braise nue La tentante... non : Dis cela, maintenant : "Je Serai L'Arbre Automatique, Soucieux de retarder l'engrange-foie tendre" - Tendre-sur-ciel, et, bien sûr, pour ce qui nous scie la tendance, Tripe à l'air On gît sans dalle, c'est la mode Et nous sommes déjà morts - Bouffons. L'idée même, surnuméraire, notre processeur de redéfinitions De taux serrés de représentation, des fils élancés / redélitons Le chant déçu de'équilibre, l'équerre en absolu qui tique, Sait cacher le dérisoire des corrélations forcenées, Saoûle infinie, vissée, je ne représente rien que les pluies de tes cendres, La pâte qui s'effeuille au gré de ta saison ; revendique, brisée, Lourde, la nonchalance étrange des veaux blêmes, des filles de rien, De croire qu'on se crée.. limitations de Sire (à percevoir) Et perdre le Nord : suggestion futile -à taire, plus haut les mains, je ne vois rien !- Combien de morts, dans nos bras, cette année ? -scalpel : Opérez les déductions / Ravinez. Las du Tout, de l'encens, de l'échelle (cachée), des chansons, Des montres, des mantes, du repas Défoliant Du grincement protéiforme des choucas / ...La porte efface au bruit du monde. (L'or se compense, tu sais, perle, vacille, se rénove) Chaque soir en Gare des Affectés, ma joie de fonte mâchée Se carapaçonne, blinde, Porte Des Reflets De Chair Alimentée, vernie. Passée. Sentant l'ocre engagé de femmes conduisant, Des gouttes élevées comme source d'Escher Puis, comme les gens s'empaillent sur de longues phalènes Pour montrer qu'on sait faire les noeuds durs, Du drap noir de la vie posée sur Barcelone. Le monde devient glaise pure, Une pleine paume De terre nouvelle - à chérir, A silloner du rapide calcul De notre incapacité nue, Creusez toujours, Il restera la fatigue étrange des masques félés, D'un vitrail inventé pour la foi d'un preux centime [Encastré]
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