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Message |
   
PHiliPPe
| Envoyé samedi 11 septembre 2004 - 22h23: | |
À salvator Dali. À l'observation de l'aigle, grand directeur de pensées, Consciencieusement, je pose les doigts à la terre. Je malaxe ce terreau d'espoirs entreposés en ses veines. Quand lassé de ma désespérance, je marche, mes pensées s'éclairent de reconnaissance. Au soir, la bougie posée sur son socle, je fais un voeu. Au matin, éveillé de soleil, je respire profondément, sans me demander pourquoi et comment. À la sève de mes espérances, À la source de mes réminiscences, j'entrevois les possibles humblement, sans me demander pourquoi la vie à l'autobiographie a un sens.
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Cécile
| Envoyé mercredi 15 septembre 2004 - 12h22: | |
Bonjour Philippe, ce poème coule tout seul. Sans problème de rythme. Juste la dernière strophe où je me demande pourquoi tu l'as disposée ainsi. |
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