| Auteur | Message | ||
     yves |
Amis, Le prix de l’Edition du Val de Seine m’a permis de publier l’impubliable suite de poèmes de « Dans la gueule d’ombres » dont voici la présentation : * Quelle poésie après Auschwitz ? L’innommable dépasse l’imaginable. L’innommable n’est pas poétique. J’ai quand même tenté de me laisser guider dans le sillage d’un Primo Levi, qui osa entrouvrir cette Gueule d’ombres pour témoigner de ce qu’il avait vu et vécu et nous alerter sans trop d’illusions. Un regard lucide sur notre monde nous montre que la Bête est toujours proche, qu’elle remue déjà ici et là, si elle ne nous mord pas encore. Si le retour de l’inhumain absolu, invention de l’homme, reste possible, il est peut-être temps encore de le combattre avec ces pauvres armes du poète que sont les mots. Et la quatrième de couverture : L’espoir Devant la sauvagerie du fleuve il est toujours une petite voix humble et triste comme l’épine pour te dire : « Patience ! cherche par où l’esprit pourra passer le gué ! » Ceux que le recueil intéressent s’adressent à moi perso. Je l’ai dédié à Pierre Bachy, un fidèle de Pageslibres, ce qui n’étonnera personne..( :- ) | ||
| Moha |
Bonne et heureuse nouvelle. félicitations Yves!! | ||
| Cécile |
Moi ça m'intéresse Yves. Je mets mon email pour qu'on voit ça !!! | ||
| lau |
moi aussi ! | ||
| PHiliPPe |
Bravo et vive les pages libres ! En ce qui me concerne, je suis " le poéte de service " de la revue "la page vlanche", revue de qualité, bien entendu, et lu en Roumanie, ami de la langue française depuis longtemps, je présente un courte biographie et présente mes poésies sélectionnée,s briévement. Également, deux de mes poémes ont été sélectionné, dans la rubrique "poésie libre" du 49 neuvième numéros du "journal littéraire". Enfin pour ma rentrée littéraire, je vais écrire à Antoine Gallimard à coeur ouvert, juste pour moi-même. Je vend également, une Peugeot 309 à 800 euros à debattre, embrayage à régler et porte cabossée. Philippe | ||
| Yves |
La page blanche est une très bonne revue ! Mais des Philippe, il y en a des tas dont un au comité de franco. C'est toi ? On s'y perd. Je me réjouis toujours des succès des autres...ce qui n'est pas la rêgle dans le milieu littéraire, grand distributeur de compliments peau de bananes. Je ne suis pas preneur pour ta vieille bagnole. Ce qui m'intéresse c'est les vieilles pendules. Quand j'étais médecin de campagne, on me consultait beaucoup à ce sujet, consultation remboursée par la sécu. ******* Je profite de cette occasion, Cécile, car il n'y a qu'une seule Cécile à ma connaissance, pour te dire que je te lis sans sauter un vers et toujours avec plaisir même si je ne le crie pas. Tu as une belle écriture, originale et régulière. Vivante. *********** L'annonce que je fais de ma publication fait partie de ce qu'on devrait considérer comme normal sur nos sites où le plus souvent on ne sait pas qui publie ceci ou cela. Je profite de cette réflexion pour dire que je trouve anormal que dès qu'un habitué des listes devient ce qu'on appelle un auteur, la plupart du temps, pfft, il disparaît. Or il passe ici ou sur d'autres sites des idées souvent plus intéressantes et prometteuses que dans les cercles littéraires où je ne mets pas les pieds. Et je pense aussi qu'il ne faut pas établir un fossé, ce qui est souvent le cas entre ceux qui publient et ceux qui ne peuvent le faire ou ne le désirent pas. Nous sommes tous des amateurs. Je ne suis pas un gourou mais depuis des années j'essaye de faire profiter de l'expérience que j'ai accumulée depuis des décennies. J'ai été joué sur des scènes nationales en France et ailleurs parce qu'une bande de copains a rodé mes dialogues sur des places de villages. Ce sont eux qui m'ont appris ce qu'est un public et pas les écoles de théâtre. Mes premiers écrits ont été raturés et mes derniers le sont toujours par des gens qui ne sont jamais des professionnels. Le regard des autres voit ce que nous ne voyons pas. Il est nécessaire et il faut l'accepter. On ne progresse jamais seul. Ceci dit, je vais au lit. | ||
| nimeton |
Monsieur Philippe, nous sommes tous fiers et heureux, ici sur ce forum, de votre grimpette dans la colline de l'immortalité poétique. Si vous me permettriez un conseil, je pense que vous pourriez envoyer votre voiture un peu usée à Monsieur Gallimard. Elle est, à n'en pas douter, (et quoique je ne l'eûsses pas lu) votre meilleur poème. M. Gallimard ne pourra pas résister à ses bosses au front et à la patine ancestrale de son embrayage. | ||
| Leezie |
Philippe, tu es plein de surprises ! j'adore ton annonce de vente de voiture, et d'accord avec nimeton, c'est un très joli poème bravo pour la page blanche, aussi | ||
| Leezie |
Yves, il n'y a pas un Philippe au comité de Francopolis, mais deux... :-)))) | ||
| PHiliPPe |
Je vous rassure, je ne suis pas le Philippe des comités de lecture, si un jour, je participe, il faudra me payer à la pige. Philippe | ||
| yves |
C'est chiant ces prénoms tout secs. Je serais d'avis de faire des distingos poétissimes avec par exemple : Philippe-vieille-bagnole, Philippe de ces dames, Philippe rit sous cape, Philippe rit sans cape,Phi grosse lippe, Philippopotamus et ainsi de suite. Pas vrai ? Oh la la ! minuit vingt. Je vais être obligé de me glisser au lit comme une souris pour ne pas me faire seriner par la patronne ! | ||
| Cécile |
Oui Philippe ! J'ai bien ri ! tu as toujours un petit mot pour surprendre ! C'est appréciable ! Yves, ça me touche beaucoup et ça m'encourage dans ma démarche d'écriture. Se savoir lu est important et motive... (Je crois que tu dois connaître une autre Cécile qui participe dans yahoo.) |