Auteur |
Message |
   
PHiliPPe
| Envoyé vendredi 24 septembre 2004 - 11h29: | |
La ville autour de nous s'endort La circulation des moteurs doucement quitte les plaisirs du jour Ce matin à la vue de ton visage, j'ai vu tes souffrances. La nuit autour de nous s'éveille, Peu à peu, les lampadaires s'allument de jour, au café noir Reviendrais-tu sur mon chemin ? Il n'est pas dit que ton chemin soit le mien. Ainsi vont les jours et les nuits des petits-jours. Ainsi se jouent les tours de manèges Trois petits tours et puis s'en aller, Revenir est une autre histoire. Autrefois, À la saint-Martin, j'ai visité le pont de Strasbourg, les canaux de Colmar, Pourquoi toutes les villes d' eau se nomment Venise ? À Saint-Martin, j'ai visité une île et Saint-Barthélémy était à côté. Pour y aller, nous prenions le cap de bonne espérance. philippe.bray |
   
A.D.N.
| Envoyé vendredi 24 septembre 2004 - 23h29: | |
Très joli poème de villes en attente d'hier et d'aujourd'hui...Les espaces de la ville sont "des pièces sans toit"* et mes pièces à moi sont des mots sans tête...La poésie des villes est faite de ces instants de l'infime en prise avec les rêves fou d'espaces de ses promeneurs, ivres de pierres... * Ricardo Boffil, architecte dans "l'architecture d'un homme" |
   
aar
| Envoyé dimanche 26 septembre 2004 - 12h41: | |
ADN !!!! c'est pas vrai. Vivant en plus !!!! Rescapé du Titanic et d'EV !!!!! salut à toi. Pogne à la main. |
|