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phV
| Envoyé lundi 27 septembre 2004 - 08h53: | |
cendre tellement légère à nos jardins de rien parcourant le livre ensemble où le savoir des mots n’est pour personne donner la main à mémoire disparue le temps est muet comme un sourire trop léger feuillage du bonheur broussaille insignifiantes s’offrir à soi même un bruit de voix rapiécés nos jardins de coloquintes mots pour personne éparpillement grenat cause se saisir d'épaisses raisons où s’enlise en particulier cette perpendiculaire dans la voix douce où se partage un travail sans fin écrire se fonder s’égarer manuscrits en libres semailles de nos terreaux retournés avant de s’endormir avant que tout se tasse une raison solide à cause de nos hésitations rapiécées tous ces dessous légers s’alourdissent « on ne sait rien de plus »
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