   
karl
| Envoyé mardi 05 octobre 2004 - 17h34: | |
je ne te radoterai pas mon frère les mêmes soupirs en couteau la violence des jours sur nos contenus trop avides nous sommes des desseins affranchis et vaille que vaille nous tombons je sais ne te gruge pas la paix pour ce tombeau de Couperin il y a trop à faire au haut des murs qui nous déçoivent tes pleurs s'en iront ouvrir l'aube tu auras du souffle à boire et l'élan d'une victoire entre deux jours amers il reste des tissus de joies à chacun des habits que tu portais jadis je t'aime et tu ne mourras jamais
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