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Aile ~
| Envoyé samedi 16 octobre 2004 - 16h27: | |
Les additionnelles Il y avait des feuilles aux arbres Bien sûr c’était presque l’été Nous étions si jeunes et pleins de volonté Un peu surprise un peu troublée tu me regardes Cinquante années déjà que nous voilà mariés Tu n’as jamais flanché Baissé les bras peut-être un peu comme moi Ho! Pas longtemps juste le temps de ramasser Quelques affronts quelques émois La vie ne nous a pas épargnés Je t’aime autant tu sais tu es si belle Avec ton air fâché ton rire qui suit de près Je ne me souviens plus des fois où l’on s’est fait querelle Sinon que des baisers qui ont scellé la paix Je n’aurais jamais pu vivre sans toi « la mienne » Je suis un homme comblé, crois-moi Regarde les enfants que je voulais de toi Ceux qui sont nés de notre appel Et que petits tu as soignés chéris, poudrés de ciel Je suis heureux pour nous ma joie est éternelle Reste avec moi, cinquante années additionnelles Ton mari Avec les mots de la plus vieille 16 octobre 2004
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yves
| Envoyé samedi 16 octobre 2004 - 16h33: | |
Et si c'était une biographie. J'ai des soupçons (:-) |
   
Ali
| Envoyé dimanche 17 octobre 2004 - 01h45: | |
Hommage dans l'hommage!..tous les deux sont beaux doux et réconfortants!..100 ans inchallah!! |
   
Aile ~
| Envoyé dimanche 17 octobre 2004 - 17h02: | |
Heu...oui... un peu facile à deviner non? ".. les mots de la plus vielle" c'est moi, je suis l'aînée des filles (mais pas de la famille). Ali, le bonheur est si simple quand on le regarde comme çà chez deux personnes qui ont saisi l'essentiel, que c'est en effet, très réconfortant. |
   
Moha
| Envoyé samedi 23 octobre 2004 - 03h39: | |
Même s'il semble scéllé par la dernière phrase; "Ton mari Avec les mots de la plus vieille "Le poéme reste ouvert à l'imagination de suites possibles,puisque il en est disposé par sa nature de joutes ou dialogue à l'operette!.. Merci Aile |