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pierrot
| Envoyé vendredi 22 octobre 2004 - 18h14: | |
j'aurais voulu que tu ne saches pas mourir n'est pas un geste d'enfant et puis les larmes viennent pour si peu pour un jouet brisé mais la mort c'est ainsi Christophe les anges vieillissent dans un long fil inquiet ridé par les murs trop parleurs tu comprends ce que je te dis? tantôt nous irons jouer ensemble je te montrerai comment le ballon est pareil à tout cela une randonnée fuyante entre les pas la perte de toucher le déboulement des yeux sur nos vies bitume et tu ne gagneras pas mon ange |
   
JG
| Envoyé vendredi 22 octobre 2004 - 20h56: | |
J'aime beaucoup ton texte pierrot... C'est banal de commantaire, mais étant donné que de ma part, ils se font rares, ça devrait quand même tenir la route... |
   
pierrot
| Envoyé vendredi 22 octobre 2004 - 21h02: | |
t'es drôle JG. Merci toi. karl (pierrot par moments) |
   
lone
| Envoyé samedi 23 octobre 2004 - 00h34: | |
c'est dingue que karl soit pierrot ( tout tourneboulé là ) dés que " pierrot " apparait je me mets d'avance en transe ( tant il est rare donc preçieux pour moi ) , il est bizare le fond de soi dés fois ma foi )) |