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Patrick Packwood
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 19h18: | |
je niche mes rêves dans mes draps... je niche mes rêves dans mes draps les songes bleus au matin mes espoirs dans les replis les plus secrets le soir venu je m’étends sur un désert blanc à la lueur des étoiles dans le ciel noir les rêves sont plus faciles à dénicher je poursuis celui de la veille le même qu’il y a une semaine un mois un an le songe d’étincelles dans toutes ces obscurités froides le prolongement de la rêverie éveillée de tous mes jours l’espoir d’une vie d’une communion de chaleur et de lumière je me couche entre mes draps blêmes de gel je rêve de toi Patrick Packwood - 4 septembre 2004 - |
   
Cécile
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 20h39: | |
Hello Pat, tu nous diras comment sont les songes bleus au matin ? En tous les cas, c'est une nouvelle fois un poème qui va au plus profond, et empli de sensibilité. Il y a juste ces deux plus longs vers qui m'on interpellé. pourquoi as-tu choisi d'en écrire deux plus longs ? |
   
Patrick
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 20h54: | |
Allô fidèle Cécile ! Plus long parce que le temps paraît plus long dans les "obscurités froides" et dans "le prolongement de la rêverie éveillée". ;-) Puis des vers courts ensuite, comme un halètement... Bisousssss Patrick |
   
karl
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 21h22: | |
C'est beau Patrick, Touchant aussi que cela est un rêve qui dure. Un rêve qui pourrait être beau, à ce que je comprends, plein d'espoir. Salut |
   
Patrick
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 23h18: | |
Merci Karl ! Oui, plein d'espoir que le rêve se concrétise. Patrick |
   
lafourmi
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 23h22: | |
ah je viens me reposer un peu dans des rêves. j'ai bien aimé ce texte Patrick je fais un peu comme toi et si j'ai une insomnie je les trouve sous mon oreiller. ccomme des amis tendres.
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Patrick
| Envoyé mercredi 10 novembre 2004 - 23h32: | |
Oui, comme des amis tendres. :-) Merci chère fourmi ! Patrick |