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PhiliPPe
| | Envoyé dimanche 14 novembre 2004 - 09h27: | |
À la feuille tourbilllonnante
le vent porte des ailes ;
Sur terre, des Scarabés d'or.
Quand vient la pluie
se cachent les oiseaux, à l'abris des réverbères.
Les trottoirs sont comme les routes cabossées
des vallons et des vallées,
On y vient à pied ou en carosses dorés.
Sans montagne, aucune plaine,
Sans plaine, aucune maison jaune ;
dans le vent des génies s'étouffent les talents,
alors que les âmes reconnaissantes rejoignent leur patrie, aimée.
Philippe |
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