Aux heures où je voyage.

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Auteur Message   PhiliPPe Envoyé lundi 15 novembre 2004 - 23h03:    Villes bâties sur la mer, Aux antipodes des architectures, deux villes sont ici : New-York et Venise ; Je n'ai pas suffisamment voyagé, faute de temps, J'ai juste eu des amours, au pays du voyage intérieur. Un jour est venu un livre dans ma main, Je les lu et suis allé aux prochaines journées ; c'était dans une bibliothèque ouverte à tous, ouvertes aux vents, ouvertes aux vents des oiseaux de passage... l'architecture avait changé, les volets de bois morts avaient disparu, de gros tuyaux sortaient de terre pour heurter les pavés de soixante-huit, Il y avait des escaltors de verres aux fenêtres, des amoureux de bonnes familles légèrement vétus au café de la mode, des expositions de peintures au milieu des miroirs, au premier étage, en entrant , des dollars pour la gazoline du chopper à William Sheller. Sur l'esplanade, des joueurs de guitares, des amuseurs publics, des accrobates et des cracheurs de feu que je côtoyais en été. Venise et New-york sont mes yeux quand je voyage et imagine, aux heures de la pluie, des amours ensevelis.   Leezie Envoyé lundi 15 novembre 2004 - 23h18:    Bonjour Philippe, ça m'arrive souvent que tes textes éveillent en moi une inexprimable nostalgie, et donc je ne l'exprime pas, mais j'aime particulièrement celui-ci, tu es un vrai peintre, merci beaucoup   PhiliPPe Envoyé mardi 16 novembre 2004 - 11h11:    Merci, Leezie. Je suis sensible à l'effet que cela produit chez toi. Philippe   philiPPe Envoyé mardi 16 novembre 2004 - 11h14:    Je veux te dire également, que je ne suis pas insensible, à certains de tes textes et que je te remercie aussi. Philippe