| Auteur |
Message |
    
PhiliPPe
| | Envoyé mercredi 17 novembre 2004 - 23h06: | |
Au vieux Chateau espagnol, d'une sobriété absolue,
la terrasse donne aux champs ; la propriétaire était en blanc.
Au sous sol, côtoyant une crypte,
une vieille voiture américaine, intacte, sans éraflure,
dort à côté du corps.
Au premier,
une chambre de lilas, des parfums artificiels.
Au vieux Chateau espagnol, à deux lieux de Perpignan,
à l'entrée, jouxtant la place, à la statue de bronze,
les espagnols du village jouent aux cartes,
et les touristes en été affluent, à la porte principale.
philippe |
yv
| | Envoyé mercredi 17 novembre 2004 - 23h38: | |
Pas compris ou mal. Le blanc c'est le corps étendu. Et le corps il est vivant ou mort? Texte peut être un peu serré et elliptique ? |
pHiliPPe
| | Envoyé jeudi 18 novembre 2004 - 11h24: | |
oUI, tu as raison, je précise :
À deux lieux de Perpignan.
Au vieux Chateau espagnol, d'une sobriété absolue,
la terrasse donne aux champs ;
la propriétaire de son vivant était habillée de blanc.
Au sous sol, côtoyant une crypte,
une vieille voiture américaine, intacte, sans éraflure,
à cette heure, dort à côté du corps.
Au premier,
une chambre de lilas, des parfums artificiels.
Au vieux Chateau espagnol, à deux lieux de Perpignan,
à l'entrée, jouxtant la place, à la statue de bronze,
les espagnols du village jouent aux cartes,
et les touristes en été affluent, à la porte principale. |
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