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JG
| Envoyé mardi 10 juin 2003 - 23h52: | |
Comme je reste là, rien qu'à te regarder et sans jamais te voir Rien qu'à te deviner de l'aut'e coté d'la mer, de l'aut'e coté des maux, que des phrases atténuent et dans les processus touffus à chercher nos langages dans le musée des métaphores. A t'inventer une âme…. À faire de l'esthétique sur la beauté des choses. Du beau qui s'analyse, dans ces airs de contacts qui jamais ne se touchent Comme je reste là, de l'aut'e coté de toi, avec d'l'amer en prime, à cet amour malade Comme je reste là, à faire semblant de tout, de savoir t'écouter, sans ne jamais t'entendre, ma tête entre tes mains. Un jour je te dirai mes pages odorantes et les paquets de mer qui gifles les bateaux Un jour je te dirai ces heures que j'invente et les vagues qui blessent le bas-ventre des filles Un jour je te dirai, je t'aime et tu n'oseras pas Un jour, lorsque je n'serai plus, qu'un miroir qui se brise, sans souvenirs de gestes, sans odeur et sans voix… Alors seulement… Commencera l'histoire en phases mécaniques… des poétiques system
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Une Fan de JG
| Envoyé mercredi 11 juin 2003 - 00h45: | |
très belle émotion ressentie à cette lecture de toi, esprit non virtuel...qui donne envie de le connaître en vrai
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Anonyme
| Envoyé mercredi 11 juin 2003 - 18h00: | |
Y a vraiment de quoi en faire un plaFF ! |
   
karl
| Envoyé mercredi 11 juin 2003 - 18h37: | |
J'aime beaucoup. C'est assez rares des comme ça. Enfin ça parle de ce qu'y a de plus concret par ici. La fin c'est quoi? Vraiment bien Karl |
   
JG
| Envoyé mercredi 11 juin 2003 - 20h23: | |
La suite ? ben elle est là. Virtuellement... j'entends ! Comme je reste là, rien qu'à te regarder et sans jamais te voir Rien qu'à te deviner de l'aut'e coté d'la mer, de l'aut'e coté des maux, que des phrases atténuent et dans les processus touffus à chercher nos langages dans le musée des métaphores. A t'inventer une âme…. À faire de l'esthétique sur la beauté des choses. Du beau qui s'analyse, dans ces airs de contacts qui jamais ne se touchent Comme je reste là, de l'aut'e coté de toi, avec d'l'amer en prime, à cet amour malade Comme je reste là, à faire semblant de tout, de savoir t'écouter, sans ne jamais t'entendre, ma tête entre tes mains. Un jour je te dirai mes pages odorantes et les paquets de mer qui gifles les bateaux Un jour je te dirai ces heures que j'invente et les vagues qui blessent le bas-ventre des filles Un jour je te dirai, je t'aime et tu n'oseras pas Un jour… Lorsque je n'serai plus, qu'un miroir qui se brise, sans souvenirs de gestes, sans odeur et sans voix… Alors seulement… Commencera l'histoire En phases mécaniques… Des poétics systems Comme je sens venir Comme une nuit béante Les bras à peine ouverts Aux instants disparus L'artificiel rire hissé jusqu'aux épaules Ma main jamais posée, les mots qui se sont tue Comme déjà le froid, des soirées nonchalantes Les mentes emmêlées, au rêve à peine su La parole donnée celle qui pousse au ventre La couleur peau d'un livre que l'on ne lira plus Comme un écho déjà Des cris aux mains liées Dans le feu de ma tête Félibre des " peut-être " Prisonnier et sans nom Un air insoupçonné Ne laissant rien paraître D'encre sous camisole Dans mes lignes sans fond
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