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| Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 18h01: | |
il n'y a plus de fantômes mon amour plus de ces trop nombreuses créatures il n'y a plus de mal plus de larmes tout est fini tout s'en va maintenant pas question de partir mourir tout seul là bas au coin de l'avenir au bout de tes inquiétudes d'enfant entre le tout frais des draps et jusqu'au bout des peines jusqu'à la fin que tu ne vois pas encore tiens-toi comme ça mon ange les temps finissent par tout dire au plus innocent des sourires au plus doux de tes yeux au plus infaillible de la foi tout jeune des petits pas à contre-sens de quoi m'avais-tu dit aux pleurs d'avant la nuit au fil des petites bribes de lucidité entre la pleine lune et entre quoi encore entre mes pirouettes pour oublier le dernier drame au bout de quoi tu me demandais au bout d'une longue nuit ou était-ce un long jour qui n'en finirait plus de finir et qui t'emporterait avec lui |
   
so-so
| Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 18h55: | |
unpeufatigantàliretoutça... comme quoi il ne suffit pas de faire (trop) long pour rebuter le (la) lecteur(trice). l'auteur tient sûrement la forme, mais tant et si bien que j'ai l'impression de vraiment comprendre en direct-live ce que c'est que la crampe du poète (du genre "contraction circonvolutionnesque")
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Cécile
| Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 19h01: | |
Oui et ceci vient du manque de ponctuation qui pourtant aurait été intéressante ici. Du coup, le texte manque de rythme et le lecteur a du mal à lire jusqu'au bout. Ce genre de texte prendrait peut être plus de valeur écrit en vers.
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mary
| Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 19h21: | |
Je ne sais rien mais peut être donner cet impression d’être essoufflé est conscient et volontaire. Comme si quelqu’un disait très vite ce qu’il n’ose pas dire autrement. |
   
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| Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 21h23: | |
Tant mieux alors, cet effet est voulu. Mais on aime le tout ou on n'aime pas, tout dépendant si on aime le fond. Moi, il m'émeut ce texte. Pas mal. Je ne reviendrai plus là-dessus. amitiés |
   
ali
| Envoyé mardi 30 novembre 2004 - 00h22: | |
Oui t'as raison point(.)..Moi aussi je l'aime comme ça..Ce n'est pas long comme remarque Soso.. même sans ponctuation.. ,ya bcp d'écrivains qui ont écrit des dizaines de pages sans point ni virgule ou autres..un poéme en prose tout court ,ça n'a pas besoin de vers comme le suggère Cécile.. |
   
passant
| Envoyé mardi 30 novembre 2004 - 00h37: | |
Il n'y a plus de fantômes mon amour Plus de ces créatures toujours si nombreuses Il n'y a plus de mal Il n’y a plus de larmes C'est fini mon amour Tout s'en va maintenant Plus question de partir mourir seul là bas Là bas au coin de l'avenir Au bout de l’inquiétude et de l'enfance Entre le frais des draps et le bout de tes peines Jusqu'à comme une fin que tu ne vois encore... Tiens-toi là comme ça, Mon ange Le temps finira bien un jour, enfin par tout te dire dans l'innocence d’un sourire Au plus doux de tes yeux Au plus sûr dans ma foi… Tout jeune à petits pas... A contresens De ce que tu disais, en pleur... Toujours avant la nuit Au fil d'une bribe de lucidité ! Entre la pleine lune... Et entre quoi encore ? Entre mes pirouettes… Pour oublier le dernier drame Au bout de quoi tu demandais comme une longue nuit Quand serait ce long jour t’emportant dans sa larme Qui n'en finirait plus Comme un jour s'en fuit Quand serait ce long jour Dans sa nuit d'infini
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yh
| Envoyé mardi 30 novembre 2004 - 00h41: | |
Dictee (avec virgules et ponctuation) La mer est entrée -sonnez campanettes- la mer est entrée par la cheminée. -virgule , à la ligne- Elle a emporté -sonnez campanettes- la barbe à papa les trous du fromage et l'ombre du chat. - virgule , à la ligne - Ses flots ont noyé - sonnez campanettes - le cerf empaillé la photo de Jules et son képi rouge, - noyé la , - Adieu, campanette! La vague l'a prise. Dans la cheminée ne nous a laissé qu'un énorme oursin pour le point final. * (Bois de mer. Ed Mélinette. Poèmes pour grandir)
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ali
| Envoyé mardi 30 novembre 2004 - 00h47: | |
9a depend,chacun peut le lire à sa manière moi je le chante comme ça: Il n'y a plus de fantômes mon amour Plus de ces créatures toujours si nombreuses Il n'y a plus de mal Il n’y a plus de larmes C'est fini mon amour Tout s'en vaaaaaaaaaaaaaaa!! maintenant plus question de partir mourir seul là bas Là bas au coin de l'avenir Au bout de l’inquiétude et de l'enfannnnnnnnnnnce !!! Entre le frais des draps et le bout de tes peiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiines !! Jusqu'à comme une fin que tu ne vois encorrrrrrrrrrrrrrrrre... Tiens-toi là comme ça, Mon ange Le temps finira bien un jour, enfin par tout te dire dans l'innocence d’un sourirrrrrrrrrrrrrre !! Au plus doux de tes yeux Au plus sûr dans ma foi… Tout jeune à petits pas... A contresens De ce que tu disais, en pleur... Toujours avantla nuit Au fil d'une bribe de lucidité ! Entre la pleine lune Et entre quoi encore ? Entre mes pirouettes… Pour oublier le dernier drame Au bout de quoi tu demandais comme une longue nuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit!! Quand serait ce long jour t’emportant dans sa larme Qui n'en finirait plus Comme un jour s'en fuit Quand serait ce long jour Dans sa nuit d'infiniiiiiiiiiiiiiiiiiii
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tamos
| Envoyé lundi 06 décembre 2004 - 00h19: | |
les commentaires sont un peu justes, la ponctuation ça se fait pas avec les points et les virgules, il suffit de le dire ce poème il n'y a plus de fantômes mon amour/ plus de ces trop nombreuses créatures /il n'y a plus de mal /plus de larmes/ tout est fini tout s'en va /?maintenant pas question de partir/ mourir tout seul là bas au coin de l'avenir au bout de tes inquiétudes d'enfant/ entre le tout frais des draps/ et jusqu'au bout des peines/ jusqu'à la fin que tu ne vois pas encore/ tiens-toi comme ça mon ange/ les temps finissent par tout dire au plus innocent des sourires/ au plus doux de tes yeux/ au plus infaillible de la foi/ tout jeune des petits pas à contre-sens de quoi(là je sais pas OK) m'avais-tu dit aux pleurs d'avant la nuit au fil des petites bribes de lucidité/ entre la pleine lune et entre quoi encore/ entre mes pirouettes/ pour oublier le dernier drame au bout de quoi/ tu me demandais au bout d'une longue nuit/ ou était-ce un long jour qui n'en finirait plus de finir/ et qui t'emporterait avec lui/ brrrrr c'est triste |
   
karl .
| Envoyé lundi 06 décembre 2004 - 18h00: | |
puisque tamos est une illumination pour moi aujourd'hui, j'interviens à nouveau. ("." c'est karl et ça n'importe pas) il n'y a plus de fantômes mon amour/ plus de ces trop nombreuses créatures /il n'y a plus de mal /plus de larmes/ tout est fini tout s'en va maintenant/ pas question de partir/ mourir tout seul là bas au coin de l'avenir/ au bout de tes inquiétudes d'enfant/ entre le tout frais des draps/ et jusqu'au bout des peines/ jusqu'à la fin que tu ne vois pas encore/ tiens-toi comme ça mon ange/ les temps finissent par tout dire au plus innocent des sourires/ au plus doux de tes yeux/ au plus infaillible de la foi tout jeune/ des petits pas/ à contre-sens de quoi(,) m'avais-tu dit /aux pleurs d'avant la nuit/ au fil des petites bribes de lucidité/ entre la pleine lune et entre quoi encore/ entre mes pirouettes/ pour oublier le dernier drame/ au bout de quoi(,) tu me demandais/ au bout d'une longue nuit/ ou était-ce un long jour qui n'en finirait plus de finir/ et qui t'emporterait avec lui/ c'est à peu près comme ça que je l'entendais, finalement je l'écrivais en prose comme je le fais toujours et rythmé de la même façon aussi. bref, quelqu'un qui m'a reconnu savait tout ça salut |