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Cécile
| Envoyé mercredi 01 décembre 2004 - 22h29: | |
des plis au creux des mains, le soir, tige vitale tout doucement se meurt. le printemps se souvient, de la fleur qui se fane et de l’enfant qui dort. du soleil dans les yeux, les mains dans les étoiles le chérubin grandit. la rosée sur la peau, l’odeur sur les pétales la belle s’épanouit. un regard innocent, un parfum pénétrant des essences enivrantes. l’éphémère fraîcheur sur le soleil couchant de la floraison latente.
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yh
| Envoyé jeudi 02 décembre 2004 - 00h03: | |
Que de parfums, dame Cécile, et de mains dans les étoiles. Si t'en chopes une passe moi me la. Je fais collection. J'ai déjà l'étoile des neiges l'étoile du marin, et ce poème que j'écrivais à huit ans * O beau ciel étoilé o écrin constellé des plus belles parures je t'aime o ciel d'été je t'aime ô sombre azur. 'Comme tu vois j'étais déjà enfant (:-) |
   
ali
| Envoyé jeudi 02 décembre 2004 - 00h14: | |
Merci Céci pour ce beau poéme ;voici un petit écho en guise de bise matinale Du creux des paumes de cet enfant de mes hivers déjà passés ma délirante grisâtre écume raconte moi le soleil levant
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Cécile
| Envoyé jeudi 02 décembre 2004 - 21h52: | |
Promis monsieur Yves, j'en ai quelqu'unes dans ma collection aussi ! Le soleil s'est levé ici Ali et il est reparti sous les étoiles. Bises |
   
tamos
| Envoyé dimanche 05 décembre 2004 - 23h53: | |
je vais être pris pour impoli, mais tes deux premiers vers se suffisent à eux-mêmes on peut guère mieux que ça "des plis au creux des mains, le soir, tige vitale tout doucement se meurt." exceptionnel même toi tu ne fais pas mieux après
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Cécile
| Envoyé lundi 06 décembre 2004 - 08h35: | |
mais non, tu as raison de donner ton point de vue !! J'ai écrit ce texte à mes débuts dans l'écriture et ne l'ai pas retravaillé. Je l'ai justement déposé ici pour savoir s'il en vallait la peine |