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fa na no ni mous
| Envoyé lundi 23 juin 2003 - 12h38: | |
Chaque fois me torcher de ce gras dedans ce rire crayeux, l'exsangue et le sombre le clown blanc en sacrifice d’une rive à l’autre d’un public et toute la désertion des cœurs leur joie qui foutait le camp pile là au milieu dans le cercle de feu du caniche cascadeur C’est ainsi chaque nuit mes terribles souvenirs de toi, mon amour femme glacée à cent mètres au-dessus de mes lèvres tourbillonnante comme une lumière ivre puis chutant en pleine rupture de songe et je te recueillais d’un baiser ma mignonne tombe encore si tu veux tombe tombe encore mais cette fois décide plutôt d’en naître
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Girl you'll be a woman soon
| Envoyé lundi 23 juin 2003 - 19h51: | |
elles sont rigolotes et jolies ces pensées brute originalité aussi du caniche cascadeur du clown blanc.... Pierrot de la lune ?
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fa na no ni mous
| Envoyé mardi 24 juin 2003 - 10h33: | |
jolies pensées? remarque amusée de ta part sans doute. c'était un instantané: le clown blanc qui se souvient de la jolie trapésiste qui n'est plus là. Une métaphore ou une histoire en soit. Nous sommes tous des clown blanc en quête de ciel. |
   
Girl you'll be a woman soon
| Envoyé mardi 24 juin 2003 - 12h30: | |
je le relis et je le trouve magnifique lorsque j'imagine la trapéziste et le clown blanc au coeur déserté, je saisis mieux et cela renvoie à beaucoup d'émotions, "je te vois mais je ne peux te toucher", c'est peu de dire que c'est Beau... moins amusée, émue.
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