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Alcaline
| Envoyé mardi 28 décembre 2004 - 13h08: | |
Merci merci… Merci au saint des saints Pour sa haute noblesse De m’avoir accordé l’ivresse de son chant Son église et ses orgues et un peu de ses fesses Offrant une caresse abusé de son temps J’inventerai pour lui l’insolite à mon île Dans un ciel bétonné au dessus de mon champ Jusqu’à me fondre en lui de rancœurs à nos villes Comme un spectre érodé de brûlures et de vent Nous marcherons longtemps avec les mots qu’il faut A nos chambres glacées… Aux impossibles rêves Nous partirons longtemps avec sa voix qui va…. Avec sa voix qu’il faut En Boeing poémier repeint du dernier sang |
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