   
Anonyme
| Envoyé jeudi 26 juin 2003 - 16h27: | |
Comme la nuit est longue au tic tac des horloges Solitude impossible et pourtant nécessaire La vie avait pourtant donné ce qu ‘elle a pu Le vent la pluie la mer et ses nuées d’étoiles Par les volets disjoints s’insinue le matin Et le chant de l’oiseau s’évertuant pour rien Le jour va se lever pareil aux autres jours Que nous restera-t-il du chant des clairs sommeils Tes yeux maintenant nus ta bouche silencieuse Ne nous racontent plus Kirikou ses amis Sans toi la table est vide et les enfants s’ennuient Et le pain mon amour n’a plus le goût du pain
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