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olivier6
| Envoyé lundi 03 janvier 2005 - 23h56: | |
La voilà la nuance entre l’opale et l’incarnat Entre ce beau clair de lune et mon œil incertain Entre le pourpre qui s’arrête et ton ciel qui s’ouvre J’entends tous les sons de ta voix quand tu penses « c’est bien » L’ouvrage que tu laisses quand s’emmêlent nos mains Tout est comme un langage appris sur l’invisible Juste après le dîner chaque soir qui tinte Un chant pour nous garder le temps de l'infini et des malentendus Imperceptible….. Tout est imperceptible Qu’une illusion d’optique Ta nudité couverte où se cachent mes yeux Tout le génie de la pensée d’un fantôme bipède et des formes bizarres Où dansent des fumées et tant d’autres reptiles La nuance nouvelle Entre Être ou Ne Pas
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Gonzalez Valérie
| Envoyé lundi 10 janvier 2005 - 17h32: | |
Très beau texte je trouve, je m'étonne de l'absence de commentaire. Valérie |
   
jml
| Envoyé lundi 10 janvier 2005 - 17h54: | |
tu as raison valérie. il m'avait échappé celui-là. |
   
mary
| Envoyé lundi 10 janvier 2005 - 17h55: | |
Justement Valérie ce texte coupe le souffle ! |
   
Cécile
| Envoyé lundi 10 janvier 2005 - 22h46: | |
J'aime aussi beaucoup. Et surtout je trouve intéressant l'ouverture qui reste à la fin... Cela produit un bel effet. Autre effet qui m'intéresse, les deux premiers vers sont impersonnels puis au 3ème apparait le "tu" avec "ton ciel", un peu comme si l'auteur avait voulu nous faire deviner quelque chose. Mais il n'a pas pu resister, très vite le "tu" prend possession des vers. |
   
opaline
| Envoyé mercredi 12 janvier 2005 - 09h50: | |
Très beau ...tout en nuance.J'aime beaucoup ce texte. |