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PhiliPPe
| Envoyé jeudi 06 janvier 2005 - 22h53: | |
Hirondelle au printemps se posant sur l’herbe fraîche des jours heureux, il y a des moments enthousiasmant au centre des désespoirs, qu’on ne peut oublier, quand on les a côtoyé. Le chant de l’oiseau de nuit éveille les couleurs du jour. Je vois en bas, les cimes des arbres et sur les ponts, les volatiles sauvages qui se posent ; ils sont d’une élégance absolue au sein des chaos et des folies sans harmonie. Je travaille jour et nuit. Dormir me transporte dans l’autre monde d’où je viens. À toi, la vie, je dédie, cette hirondelle qui renaît des arbres nus. Philippe |
   
fourmi
| Envoyé jeudi 06 janvier 2005 - 23h04: | |
Ce poème est pour nous Philippe ? L'hirondelle pour moi est synonyme d'espérance et ce texte représente la vie . |
   
PhiliPPe
| Envoyé jeudi 06 janvier 2005 - 23h20: | |
oui, je cherchais un titre et je ne l'ai pas trouvé, alors j'ai trouvé celui-ci. Sur le site de la page blanche je l'ai dédié à Marion, pour la lecture de ses derniers poèmes. |
   
jml
| Envoyé jeudi 06 janvier 2005 - 23h57: | |
salut fourmi. philippe tu savais que la fourmi peut transporter un fardeau de géant sur son dos de fourmi. |
   
PhiliPPe
| Envoyé vendredi 07 janvier 2005 - 19h35: | |
Les fourmis effectivement peuvent mettre sur leur dos des charges exceptionnelles !
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LC
| Envoyé samedi 08 janvier 2005 - 04h58: | |
Le bonheur vous va bien Philippe (mais il va bien à tout le monde). Très heureuse de vous lire ainsi. |