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olivier6
| Envoyé mercredi 12 janvier 2005 - 22h36: | |
D’un soir qui descend en pluie à marrée basse L'heure téléportée Ton chant tout doucement Au souffle de ta voix Comme une ombre qui passe L’outrage de l’oubli Comme un ruissellement L’angulaire jardin d’un instant qui se pare Du sculpte de tes seins ma main jamais posée Nos visages indistincts Ton berceau dans la glace Mon habit d'oiseau lyre Où brûlent mes pensées D’un fleuve sous l’hallier Et des matins fantômes Du vin de tes messages... Je t'imagine encore
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Céleste
| Envoyé mercredi 12 janvier 2005 - 23h32: | |
Oh ! oh ! l'o l'eau vapeur l’eau voluptés libérées qui se détordent, se disloquent, s'attardent se dissipent s’imaginent encore
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mary
| Envoyé jeudi 13 janvier 2005 - 09h05: | |
En paraphrasant la chanson « The Beatles : « Imagine » Nous pouvons dire que tu es un rêveur Mais tu n’es pas le seul... "You may say i'm a dreamer But i'm not the only one”
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Cécile
| Envoyé jeudi 13 janvier 2005 - 22h10: | |
Déjà posté ici, mais une histoire d'Oooo de l'évier coule des milliers de lacs aux parfums d'ailleurs mille mots glissent entre les glaces se cognent sur le mur et rebondissent font des cercles et puis s'enroulent autour de mes doigts Six mille airs dans la nuit serait-ce le chant des oiseaux qui peuple le monde de rêves ?
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