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Message |
   
so-so
| Envoyé vendredi 11 février 2005 - 21h30: | |
il faudra, tôt ou tard, le frôlement surveillé de la mort pour tous ! la douceur de la vie qui s’évade, l’envahissante paix de la chair déchirée, l’embellie de la mort agissante dans l’hémorragie, pour tous, au plus tôt ! que l’absente de ses lèvres, dès lors, intente aux jours son attente impossible, que l’aimée donne au corps, encore originel, sa fuyante obèle ...
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Cécile
| Envoyé vendredi 11 février 2005 - 22h31: | |
Tu vois j'aime moins celui-ci que le précédent... Ici j'ai l'impression que ça manque de rythme. et je ne comprends pas les retours à la ligne qui n'apportent rien, à mon avis, bien sûr ! |
   
hélène
| Envoyé vendredi 11 février 2005 - 23h17: | |
trois syllabes battement de coeur six pour la douceur , plus lente, regret - et retour au coeur battement du sang partir doucement dormir emportant une marque de la vie deux syllabes pour le soupir
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yh
| Envoyé lundi 14 février 2005 - 23h22: | |
Pas tellement d'accord, dame Cécile sur le morcellement haletant du poème. J'ai l'impression qu'il ne faut pas justement qu'il coule mais plutôt qu'il s'ébrèche et tombe en miettes. Question de goût, sans doute. |
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