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¨De Malaïka
| Envoyé samedi 12 juillet 2003 - 14h09: | |
Désenchantement le désenchantement, il se projette à votre visage Un jour où le soleil brille de tous ses feux Voile votre coeur de peurs vos yeux d'un voile hideux Vous invite au bal des pleurs en un pas où deux Et danse jusqu'aux petites heures Tous les pas de la terreur Sans le moindre remords sans aucun tord Le désenchantement pose lourdement sur vos épaules Le poids de sa démence avec une telle arrogance Et L'odeur nauséabonde de ses vielles souffrances Laissant au creux de votre âme une énorme carence N'a pour coeur que les restes des coeurs de ses victimes. Qu'il à pillés comme l'on pille les vitrines Avec l'envie démesuré de posséder ces trésors étalés Sans contrainte sans même en avoir de prix à payer Oui le désenchantement m'est apparu au visage Moi, Tel un sage, droit dans les yeux je l'ai regardé Jamais il n'aurait crue que j'y serais bien préparé Croyant que je périrais comme la barque oubliée sur le rivage Désenchantement toi le traître le méchant Il y a si longtemps que je t'attend que je proclame ta venue toi l'intrus Avec arrogance et mépris Moi je te salut!
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florence
| Envoyé lundi 14 juillet 2003 - 11h07: | |
Hello malaïka, comme promis voici quelques impressions: D'abord, le thème est intéressant. le désenchantement, c'est bien moins courant que l'Amour, la Haine, l'Espoir etc... Ca nous arrive à tous, le thème reste universel, mais tu peux y glisser des choses personnelles. Première remarque d'importance, ce qui peut nuire à la lecture de ce texte, c'est d'utiliser la rime, relativement pauvre, juste pour faire "poésie". Laisse tomber la rime, à mon avis, essaye plutôt de cerner mieux, plus précisément, plus concisément les images qui te viennent lorsque tu te remémores les impressions de désenchantement. Evite aussi les répétitions : tu mets "Voile votre coeur de peurs vos yeux d'un voile hideux " ce qui veut dire que le désenchantement "voile d'un voile hideux", le mot "arrogant" reviens deux fois, etc.. Un conseil qui me semble opportun, ayant lu certains de tes textes écris à la première personne, je pense qu'il vaut mieux que tu parles de ta voix, que tu personnalises tes textes, que tu exprimes réellement ce qui te touche toi, les sentiments qui te traversent toi. (tu le fais à la fin du texte, mais avec des images plus pauvres qu'au début)Ca aura, paradoxalement, une portée plus universelle que lorsque tu parles du désenchantement comme d'un objet extérieur. Alors que ce qui nous intéresse c'est comment toi tu es désenchantée. voila. Sinon quelques bonnes idées, comme danser jusqu'aux petites heures, tous les pas de la terreur. et la métaphore sur la possession des biens en vitrine :-)) Bonne continuation florence |
   
Malaïka
| Envoyé samedi 19 juillet 2003 - 06h51: | |
Florence merci! Comme tu as pu le constater ce texte est à l'étas brute. Je n'essaie pas de mettre des rimes le texte me vient tel qu'il est. Je sais que mes rimes sont pauvre car je ne travaille pas sur les rimes. C'est ce que je ressant et veut livrer qui compte pour moi. Pour la répétition merci de m'expliquer car je ne voyais pas ça de cette façon. Pour moi il y avait un voile couleur de la peur qui recouvrait le coeur et un voile hideux qui recouvrait les yeux. Merci pour les métaphore C'est très gentil à toi d'avoir pris le temps de me livrer tes commentaires. Je les prend en considération merci encore . |
   
Malaïka
| Envoyé mardi 22 juillet 2003 - 17h25: | |
Triste jeunesse perdue. Triste jeunesse perdue tu n'e n'entends plus. Tu m'as quitté lorsque de toi mon regard s'est détourné . Et me voilà tout à coup surprise de ton départ. Inutile de te poursuivre , Jamais je n'arriverai à te suivre . Ton départ m'a vieilli , mais heureusement ne m'a pas volé l'amour de la vie . Jeunesse , mon ancienne amie, je voudrais te demander pardon Pour tous ces jours où Je n'ai pensée qu'à moi, sans même t'apprécier t'accablant de critiques d'injures et de mépris . M'en voilà bien punie! Puisque c'est aujourd'hui que je te chérie . Et me voilà seul avec mes peines, mes regrets et mes pardons Sachant que plus jamais, tu ne reviendras me tendre les bras Me bercer de joie comme autrefois. Je tenais à te dire merci !Tu auras été , Je n'aurai point su te respecter . Aujourd'hui il ne me reste que tes meilleurs souvenir que j'ai tant de plaisir à bercer. Triste jeunesse perdue, me pardonneras-tu ? De ne pas avoir su t'apprécier . Lorsqu'en ce temps tu m'avais tout donné. Fin
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Malaïka
| Envoyé vendredi 01 août 2003 - 14h08: | |
Je suis petit Je suis petit je sais ! Voilà pourquoi je garde mon ourson entre mes bras. Il me rassure, me mène è l'aventure et lorsque tout à coup j'ai peur de la grande noirceur, je le dépose tendrement sur mon cœur, Afin qu'il m'apporte sa douce chaleur . Je me demande bien pourquoi l'on vient au monde, si la vie s'éclaire de terreur ? On aurait du me prévenir, moi , je n'aime pas souffrir, et lorsque j'entend tous ces cris ces dires, la peur en moi me fait rire . Quoi de pire ? Je ne veux pas retourner d'où je viens mais parfois pourtant j'aimerais bien. Je suis petit c'est vrai, mais mon ourson lui me connaît . Je le protège de tout c'est un fait. Si c'est la peur qui nous fait grandir, OH! je serai bien trop grand . Et lorsque j'aurai trop grandi, je voudrai sûrement quitter la vie, puisque la peur en moi aura fait son nid. Trop grand ça ne laisse jamais de répit.
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Hélène (Hélène)
| Envoyé vendredi 01 août 2003 - 15h59: | |
Malaïka tes mots me font penser à un petit texte que j'ai imaginé pensé par un bébé qui vient de naître . Il est dans le livre anniversaire . Si j'ose le diffuser ici c'est parce qu'il est la réponse que j'ai envie de te faire amitiés Hélène P.S pardon à ceux qui le connaissent déjà. LE GRAND INSTANT Etre, se délivrer franchir cette trouée vouloir la liberté s'ébrouer Avoir froid faim peut être Crier hurler même Frayeur Hémorragie d'angoisse vertige de solitude ou de liberté soudain Nostalgie d'une prison trop tiède d'une odeur familière l'oublier, étonné intrigué par la mobilité, l'image Tiens, le monde ? Commencer le parcours le deviner éblouissant tel ce soleil qui blesse oblige à baisser les paupières Premier apprentissage du conflit patience et désir Dormir
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Malaïka
| Envoyé vendredi 01 août 2003 - 16h10: | |
Hummmmmmm! Que c'est beau ! Merci Hélène pour ta réponse et ton texte . Amitiés Malaika |
   
Malaïka
| Envoyé lundi 11 août 2003 - 19h15: | |
Les larmes Les larmes font si peur car elles annoncent le besoin d'être consolé. Et les gens n'ont plus le temps n'y l'envie de consoler. Voilà pourquois, il nous faut ces endroits où les larmes sont en demandes . Ces endroits pourraient porter comme mention. Ici nous sauront prendre soins de vos larmes. Venez transformer certaine de vos larmes en heures de bonheur . Venez à la maison des pleurs fanés, en quelques semaines seulement nous ferons refleurire votre cœur pour des années. Les larmes si elles avaient une couleur soit vertes soit bleues et qu'elles tacheraient le visage à leur passage . Combien de tout ceux qui se disent positif auraient les joues bleutées. Oui bien être positif et voir le beau ne veut pas dire qu'il faut rire de nos pleurs. Mais qu'il faut les écouter les consoler et surtout bien les apprivoiser . Apprivoiser, je crois que c'est l'un des mots les plus précieux. Il ne faut pas se noyer dans nos larmes ni y tanguer à perpétuité mais il faut en être conscient pour ne pas sombrer . Être positif au fait qu'est ce que c'est? Si ce n'est pas de se prendre en en main et d'avouer avoir besoin,et de n'être qu'humain. De regarder ses pleurs afin d'y découvrir... Moi si j'étais Médecin ce n'est pas le sang que j'analyserais mes les pleurs de mes patients. Une larmes à la fois sous le microscope je regarderais ce qui si cache depuis tant d'années et ce qui reste à la surface tentant de s'évader. Si j'étais médecin, j'aurais des tonnes de petites flacons minuscules dans les qu'elles une larmes vivrait ses émotions. Qu'enfin me parle la raison Si j'étais ce médecin je donnerais droit de pleur à tout ceux qui se cache pour les vivre ailleurs . Mais si j'étais magicien tous les pleurs s'appelleraient bonheur. Fin!
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Hélène (Hélène)
| Envoyé lundi 11 août 2003 - 20h27: | |
Ma chère Malaïka tout cela existe bien . Il y a des sites comme expression où , je l'ai remarqué , des autres auteurs s'intéressent davantage aux textes qui parlent de chagrins ou d'amour ou de deuil. il y a aussi des sites un peu psy pour ceux qui ont de gros problèmes et ils peuvent en parler entre eux . si tu étais un tel médecin tu serais médecin analyste.tu ferais ce qu'on appelle des thérapies. Tu aurais fait quelques années d'études supplémentaires pour le devenir. Et non seulement tu supporterais les larmes mais parfois pour soulager tes malades tu les provoquerais doucement. Ils deviendraient non pas positifs mais s'approcheraient de la sérénité. grâce à toi. Tu es douce Malaïka
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Malaïka
| Envoyé lundi 11 août 2003 - 22h55: | |
Merci Hélène. Je sais oui que tout ça existe . Merci de me consseiller un autre site . Mais tu sais, je ne parle pas que de l'amour de la tristese et de la mort . Je parle simplement de la vie . Oui, je suis douce Chère hélène . J'aime les gens et j'aime à les regarder vivrent Merci de ta gentillesse . Merci de me dire avec autant de souplesse. Malaika |
   
Hélène (Hélène)
| Envoyé lundi 11 août 2003 - 23h14: | |
Malaïka tu peux très bien aller sur un autre site, selon ton humeur ton envie, mais surtout continue de venir ici. tes textes sont très sensibles . Oui j'aime aussi regarder vivre les autres même et plus quand ils sont différents de moi par le pays, le caractère,l'âge ... La vie c'est tout ce qu'on ressent , joies et peines émerveillement ou dégoût . J'aime bien de temps en temps essayer de la dire en poésie, comme toi. je pense à une citation de Pierre Perrin : " Nous n'avons pas trop de nos cinq sens pour en donner peut être un à notre vie " Bonne soirée
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Malaïka
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 02h11: | |
Hélène Merci! Tu me rassure car, je me demandais si tu essayais de me dire que ma place n'était pas ici. Merci . J'aime bien ce site . Amicalement Malaika |
   
Malaïka
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 02h17: | |
Hélène Peindre l'amitié Pour peindre l'amitié Il me faut d'abord Une toile et quelques pinceaux Des couleurs d'une grande qualité Et beaucoup de dextérité Pour peindre l'amitié Il me faut Quelques goûtes de respect Un soupçon de couleur tendresse Sur un font peint sincérité Pour peindre ce merveilleux tableau Bien sûr il me faut Une amie à qui le dédier Et de ma main amicalement le signer Malaika
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Malaïka
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 03h15: | |
Chère Hélène J'avais envie de partager avec toi ces deux textes que j'ai écris après la mort d'une petite fille de 10 ans à la demande de sa mère une grande amie. Le deuxième mes sympathie . Lettre à une mère au cœur d'or Maman ma chérie, je sais combien tu as mal En ton cœur, en ton esprit. Je sais que désormais tu dérives ta vie. Mais maman, je t'aime tout autant. Mon âme, maman, avait rendez-vous là où tout est si jolie, où plus jamais l'on a peur la nuit. Entre ses merveilles, maman, je vous surveilles, et parfois, tu sais quoi, je ris de vos étourderies. Maman, sur ton cœur j'ai déposé une fleur qui jour après jour, aura besoin: de ta force, de ton espoir, de ton amour pour fleurir et grandir. Cette fleur, maman elle est ma plus jolie puisque je l'aime à l'infini. Je te la confie. Il n'y a que toi qui saura la faire fleurir, comme tu as su fleurir mon cœur par toutes ces heures d'amour de bonheur Ce que cette fleur aura d'exceptionnelle maman? Ses couleurs. Elle n'en a pas encore mais, nous lui donnerons les couleurs de notre amour. Tu imagines, maman, la beauté qu'elle aura? Puisque mon petit corps c'est détaché de mon esprit, dans cette fleur, en ton cœur, j'ai fais mon nid .Maman, ne te porte jamais jugement car si je devais à nouveau choisir une mère, C'est encore toi, maman, que je choisirais. Ma petite mère, je t'accompagnerai chaque fois que tes pleurs seront trop lourds. Ensemble, on y arrivera. Accroche toi maman, accroche toi, mes frères ont besoin de toi. Et un jour notre fleur sera tellement jolie. Je suis là maman et même si tu n'entends pas ma voix ni mes pas, Je suis là maman chérie. Toujours là près de toi. Tu me ressent? fais-moi une petite place, mon âme vient te bercer pour que le calme t'envahisse. Alors Ferme les yeux et laisse entrer en toi ce sentiment de bien-être. Je t'aiderai à trouver le sommeil. Ne te désole pas maman si dans tes rêves tu ne me vois pas . Puisque que tu m'auras toujours en ton cœur , qu'elle qu'en soit l'heure. Qu'elle qu'en soit l'heure petite maman chérie. Je suis partie petite mais me voilà si grande Maman ne cherche pas de réponse dans ta souffrance . Tu ne pourrais trouver que de vilaines questions qui t'éloigneront de l'horizon -------------------------------------------------- -------------------------------------------------- ------------------------------ Comment vous dire, combien je suis peinée de ce triste cauchemar qui couronne maintenant tous vos jours . J'ai beau chercher, il n'existe aucun mot assez puissant pour faire taire le vent, ni de magie pour fondre l'orage en vos cœurs, en vos nuits. La grande mer glacée, cette fois vous aura frappée avec tant de lâcheté. Mais il vous reste cette petite étincelle de ce feu qui réchauffait tant vos cœurs. Et tout au fond de ce ciel noir, la plus magnifique des étoiles, pour vous guider vers la source de vie, là où la lumière jaillit. Et même si le vent souffle trop fort, que votre barque n'a plus de rive, qu'ils vous faut voguer sur les flots à la dérive. Une sirène, la votre, vous chantera l'envie de vivre. Vous donnera la force qu'ils vous faut pour regagner la rive, le sable chaud des jours nouveaux. Comment vous dire, comme je comprend que la lumière de ce phare qui m'aveugle n'est pour vous que folle lueur sans rendez-vous. Comment vous dire, qu'ils vous restes deux magnifiques fruits de l'arbre de vie et qu'ils ont besoin de vos racines, de votre soleil, de votre amour pour poursuivre leur vie. Qu'ils vous attendent perdus là sur la rive de la réalité, demandant au soleil de leur expliquer comment leur vie à pu ainsi chavirer. Qu'ils ont besoin d'entendre votre voix venue de loin pour s'accrocher à se sable léger. Comment vous dire qu'ils portent en eux tant de trésors pour éblouir vos yeux sertis de larmes. Comment vous dire que votre désespoir est entendue de toutes les âmes. Comment vous dire que je suis de tout cœur avec vous.
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Malaïka
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 21h31: | |
Hier la vie avait le coeur chaud Elle pleurait de joie je présume Puisque ses pleurs n'étaient pas glaçés Et que son regard était ensoleillé. |
   
Malaïka
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 21h43: | |
Une larme Une de mes larmes c'est penchée à mon chevet Me priant de survivre malgré toutes ces heures grises J'irai m'a t'elle dit Abrever tes lèvres glacées Et de mon sel les purifier Une larme c'est dite mon amie À mon oreille a chanté la vie Ouvre ton coeur m'a t'elle dit Douce fleur Que jamais en toi l'amour ne meurt Une larme a pleurée Dans mes mains vint tomber Je meurt m'a t'elle dit Je meurt pour te montrer la vie Cette larme mon amie Je l'ai porté en mon coeur Au nom de toutes ces heures Et en toute honneur Le cortège a suivit Qu'elle en soit bénie Une larme m'a sauvée Jamais je ne l'oublirai Emportant avec elle Mes longues heures grises Qu'enfin la vie me grise. Malaika |
   
Hélène (Hélène)
| Envoyé mardi 12 août 2003 - 22h39: | |
Malaïka tu viens d'écrire deux très jolis poèmes. Ils traduisent tout à fait un passage de la réponse que je t'avais faite un peu plus haut. c'est parfois très difficile de connaître le goût des larmes,parfois joie et chagrin s'y mélangent drôle de petite cuisine qui donne un goût de bonheur que je connais et que je n'oublierai jamais.
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Malaïka
| Envoyé mercredi 13 août 2003 - 22h50: | |
merci hélène Pour ta grande générosité. Chaque instant de bonheur mérite d'être vécus à pleine vapeur Chaque instant de détresse mérite une grosse caresse Un colleux pour la vie m'a t'on dit. La vie est si belle rien n'égale sa beauté même si parfois, elle semble se négliger. Milles éteincelles Parfois les larmes sont sans pudeur Vogant peu importe l'heure Au gré des vagues de l'ennuie Pour s'y fondre c'est ainsi Parfois les larmes assèchent les coeurs Qu'ils débattent la peur rougissent de terreur Mais le sourire toujours vainceur Garde au fond de son nid Mille éteincelles de folie Pour au moins mille larmes c'est ainsi . Malaika |
   
Malaïka
| Envoyé mercredi 13 août 2003 - 23h18: | |
Suppose Fatigué, le dos presque courbé Une autre de ces nombreuses journées Qui ne t'apporte rien de beau . Mais! Suppose, que tout à coup Ta vie se teinte de rose Que tu oses devenir maître de tout Qu'en main tu prennes ta vie Que tu dis adieu à l'ennuie Qui rendait tous tes jours gris Suppose que les arbres te sourient Que les fleurs te chantent en coeur Une jolie mélodie Que l'air que tu respires Sent bon le parfum de la vie Suppose que tous ces gens rencontrés On l'air de t'aimer Que tu sois entrain de rêver et que tu ne veules plus te réveiller Que les oiseaux dans le ciel Puisse t'apporter une bonne nouvelle Suppose que ton abri soit digne Des nille et une nuits Que ton désert cache en lui Une eau de vie Suppose que plus jamais tu n'auras soif Tu n'auras faim Que l'on a vidé ton coeur de tous ses malheurs Ta tête de tous ses soucis Que le vent souffle doucement vers toi Que tu puisses faire quelque pas Suppose que tu pardonnes À tous ceux qui t'on perforé le coeur Que tu appelles au bonheur Toujours parti ailleurs Que plus rien ne te fais peur Qu'il arrive à toi Ce bonheur qui enfin entend ta voie Suppose maintenant retourner dans ton ennuie Et ne vivre que sous la pluie Caché dans ta tanière Caché de la grande vie Suppose que la question tu te poses! |
   
Malaïka
| Envoyé mardi 19 août 2003 - 13h26: | |
Si j'avais une barque Si, j'avais une barque En son centre, je prendrais place Là, où l'équilibre se berce Entre, les vagues qui la caresse. Si, j'avais de l'audace Je franchirais toutes les mers Comme, le soldat près pour la guerre Franchit les grands fossés Si, je laissais valser ma douleur Je compterais mes larmes à l'heure Comme, le compteur fidèle à sa machine Compte ses milles Si, J'avais à vous raconter comme Le conteur raconte C'est de l'amour que je vous parlerais Et de tous ces beaux atours Comme, de son cœur certi de bonheur Si, j'avais à vous prouver C'est telle la tornade que je m'abattrais sur vous Armée de la grande vérité Qu'enfin vous cessiez de rêver. Si, j'avais à vous offrir C'est de tout cœur que je vous offrirais De mon être le beau le vrai Malaïka |
   
Malaïka
| Envoyé jeudi 21 août 2003 - 20h24: | |
Dansez Dansez loups affamés Mordez à pleine dents J'ai laissée mon coeur au vent Mon corps au sombre décor Je n'étais ni trésor Et ne serai momument Hurlez à la ronde lune Les dents imprégniées de mon sang Hurlez mon infortune Mon âme en ce temps s'envolera vers l'au-delà
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Malaïka
| Envoyé jeudi 21 août 2003 - 20h51: | |
La peindre J'aurais voulu la peindre Comme l'on peint l'oiseau La mer et le sable chaud Mais comment la peindre Pas une couleur Ne possède sa splendeur Rien d'assez magique Pour que naisse ce tableau fantastique Elle est bien trop belle Bien trop vivante Et même si elle me manque Bien trop belle Bien trop vivante Pour que sur une toile À jamais son sourire tangue J'aurais tellement voulu la peindre Même si j'en tremble de l'aimer Peindre son coeur courroné de rêves et de beautés Mais peut-on peindre la liberté Et au mur de ses envies la déposer. Malaïka
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